Salut les filles,
Ben quand ça va pas trop, je viens un peu me défouler ici.
J'en ai marre et plus que marre de ne rien pouvoir faire, de ne pas pouvoir m'occuper de mon Tom d'amour, de voir mon mari crevé et stressé en permanence...
Si tout va bien, plus qu'une semaine à tenir et gygy me dira que c'est fini. Mais même à ce moment-là, je vais faire comment pour récupérer ?? Je vois bien ici que dès que je fais un petit effort, je suis fatiguée, j'ai la peau du ventre qui tire, j'ai comme des douleurs de règles (mon col qui travaille ????) Je me demande si ces douleurs sont réelles ou si je somatise tellement j'angoisse d'en avoir fait trop. Et pourtant je vous jure que mes "efforts" sont vraiment risibles par rapport à ce qu'une femme normale fait (repasser 1/2h max assise, ranger un peu les armoires en prévision de l'arrivée de bb, me faire conduire au syndicat pour mes papiers de maladie... Et bien sur un seul "effort" par jour, le reste de la journée REPOS). Bref, ça me gonfle. Et pourtant, j'ai été bien plus mal en point pour Tom, même hospitalisée, donc cette fois-ci c'est quasi le "paradis".
Et pour mon diabète, j'ai vu la spécialiste lundi qui me laisse encore une chance de m'en sortir sans insuline, mais elle pense qu'à ma prochaine visite (dans un mois), il faudra y passer, car mes résultats, même s'ils sont rarement très mauvais, sont souvent limites. Elle voudrait donc faire des piqûres "occasionnelles" pour pouvoir baisser fortement le taux et que mes moyennes redeviennent plus basse. Ca me servirait aussi si je veux faire un écart et me permettre un repas "normal". Une petite dose d'insuline, et hop, je mange ce que je veux. Mais bon, j'ai pas envie, car le fait même de parler d'insuline, j'ai enccore plus l'impression d'être vraiment malade, alors que pour le moment je me rassurais en me disant que j'étais juste au régime sous surveillance.
Je suis désolée de vous parler de mes petits bobs qui ne sont rien en rapport des souffrances atroces physiques et morales que certaines subissent ici, mais de temps en temps il faut que j'écrive pour me décharger de ma tristesse.
Bisous les filles,
Ririe
Ben quand ça va pas trop, je viens un peu me défouler ici.
J'en ai marre et plus que marre de ne rien pouvoir faire, de ne pas pouvoir m'occuper de mon Tom d'amour, de voir mon mari crevé et stressé en permanence...
Si tout va bien, plus qu'une semaine à tenir et gygy me dira que c'est fini. Mais même à ce moment-là, je vais faire comment pour récupérer ?? Je vois bien ici que dès que je fais un petit effort, je suis fatiguée, j'ai la peau du ventre qui tire, j'ai comme des douleurs de règles (mon col qui travaille ????) Je me demande si ces douleurs sont réelles ou si je somatise tellement j'angoisse d'en avoir fait trop. Et pourtant je vous jure que mes "efforts" sont vraiment risibles par rapport à ce qu'une femme normale fait (repasser 1/2h max assise, ranger un peu les armoires en prévision de l'arrivée de bb, me faire conduire au syndicat pour mes papiers de maladie... Et bien sur un seul "effort" par jour, le reste de la journée REPOS). Bref, ça me gonfle. Et pourtant, j'ai été bien plus mal en point pour Tom, même hospitalisée, donc cette fois-ci c'est quasi le "paradis".
Et pour mon diabète, j'ai vu la spécialiste lundi qui me laisse encore une chance de m'en sortir sans insuline, mais elle pense qu'à ma prochaine visite (dans un mois), il faudra y passer, car mes résultats, même s'ils sont rarement très mauvais, sont souvent limites. Elle voudrait donc faire des piqûres "occasionnelles" pour pouvoir baisser fortement le taux et que mes moyennes redeviennent plus basse. Ca me servirait aussi si je veux faire un écart et me permettre un repas "normal". Une petite dose d'insuline, et hop, je mange ce que je veux. Mais bon, j'ai pas envie, car le fait même de parler d'insuline, j'ai enccore plus l'impression d'être vraiment malade, alors que pour le moment je me rassurais en me disant que j'étais juste au régime sous surveillance.
Je suis désolée de vous parler de mes petits bobs qui ne sont rien en rapport des souffrances atroces physiques et morales que certaines subissent ici, mais de temps en temps il faut que j'écrive pour me décharger de ma tristesse.
Bisous les filles,
Ririe