J'ai vu le problème inverse pour ma belle mère. Son état s'est dégradé rapidement, et l'équipe médicale, qui ne l'admet pas (mais bon, ma formation m'aide quand même à y voir clair), a accéléré son départ, sans nous prévenir (doses de morphine croissante, diminution de l'alimentation par perfusion, etc). Quand mon beau père essayait de demander le pourquoi de ces mesures, l'équipe médicale l'a culpabilisé en lui disant "vous ne voulez tout de même pas qu'elle souffre ?".
C'est sur que de prolonger une agonie douloureuse, ce n'est guère humain. La raccourcir sans prévenir l'entourage non plus. Il faudrait simplement tenir compte de la demande du malade et de sa famille.
C'est sur que de prolonger une agonie douloureuse, ce n'est guère humain. La raccourcir sans prévenir l'entourage non plus. Il faudrait simplement tenir compte de la demande du malade et de sa famille.