Il raconte sous la forme d'un roman-fleuve les dx années de l'auteur passées à Bombay en 1970 : ses combats, ses amours, sa lutte quotidienne pour la vie et la liberté.
« Il m’a fallu du temps et presque le tour du monde pour apprendre ce que je sais de l’amour et du destin, et des choix que nous faisons, mais le cœur de tout cela m’a été révélé en un instant, alors que j’étais enchaîné à un mur et torturé. »
UN FILM AVEC JOHNNY DEPP est en préparation :wink: !
:arrow: Quel destin incroyabale que celui du petit Rudolf Hametovitch Noureev devenu : Noureev : L'insoumis chez Flammarion
Ce danseur incomparable, chéri des médias, au charisme et au charme epoustouflant , a subjugué son époque.
Né dans une famille tartare en URSS, il s'est réfugié à Paris en Juin 1961 d'une façon qui m'a éscagassée :
il a échappé à ses accompagnateurs (du KGB)alors qu'il allait prendre l'avion à l'aéroport du Bourget en se réfugiant dans las bras des policiers fraçais.
Il est mort , après une vie dissolue ,richissime ( l'évocation du partage de son héritage est incroyable ) et victime du sida .
:arrow: Pour les Fans de Paul Auster je recommande son dernier livre :
Un vieil ecrivain semble confiné et épié ( un appareil photographique est installé dans le plafond juste au-dessus de lui. )dans une chambre.
Qui est-il ? Que fait-il là ? Quand est-il arrivé là et jusqu’à quand y restera-t-il ?
Il y a là des personnages qui entrent et qui sortent : Peter Stillmann, Anna Blum, Marco Fogg... les héros d'autres romans de Paul Auster :wink: !!!!!!!!
De l'humour noir sur un théme apparemment gravissime , Teulé nous laisse sciés de rire, je vous jure!!!
Imaginez un magasin tenu depuis 10 générations par une famille de dingue.
Et qui fournit toutes les fournitures leur permettant de passer de vie à trépas.
Oui mais le petit dernier des enfants ne rentre pas dans le moule : Alan, dès ses premiers jours déborde de bonheur et d’optimisme.
Un malheur pour les Tuvache, d’autant que cette bonne humeur va rapidement devenir contagieuse au sein du cocon familial…
:wink:
Ps: Jean Teulé, c'est le petit copain de Miou Miou !
C'est l'histoire d' une mère qui va mourir, qui meurt, puis qui revient sans cesse dans la mémoire et la vie de ses quatre filles.
Olga devient une « voyageuse de nuit », pour reprendre l'expression de Chateaubriand dans Les Mémoires d'Outre-tombe.
Dès que la mère ferme les yeux, ses quatre filles sont obligées d'ouvrir les leurs :
Elles vont, progressivement, devoir découvrir la vérité sur leur famille .
S'infantiliser afin de retrouver cet amour fraternel qui leur a tant manqué comme dans cette scène où cette scène où, après avoir mangé des crêpes, elles se mettent à danser toutes les quatre.
Une poignante méditation sur le deuil et la métamorphose du souvenir.
Extrait:" Elle a fermé les yeux plusieurs mois avant sa mort.
Même le personnel de Louis-Pasteur s'en est étonné quand, avant-hier, elle y est entrée en soins palliatifs:
«Madame, s'il vous plaît, ouvrez les yeux!
Pourquoi fait-elle ça?» Nous ne savons pas.
L'épuisement?
Il paraît que non: avec un grand malade, la communication passe par le regard."
Voici le portrait de deux êtres qui disent tout bas ce qu'ils pensent très fort.
Résumé:
Renée n'est pas celle qu'on croit, à cinquante ans ,elle se conforme à l'image de la concierge vielle, laide et bête, mais elle lit Kant et écoute de la musique classique dans son arrière cuisine!!!
Colombe, surdouée qui méprise absolument le milieu dont elle vient (la grande bourgeoisie parisienne),elle, a 12 ans et ne supporte pas ce monde de faux semblants dans lequel elle vit. Elle a donc décidé de se suicider le jour de ses 13 ans.
Extrait: "Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois.
Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants.
Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches.
Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte.
Comment est-ce que je le sais ?
Il se trouve que je suis très intelligente.
Exceptionnellement intelligente, même.
C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "