Je suis aussi un peu comme Chips.
Si tu veux, je vais te parler un peu de moi pour essayer de t'aider un peu.
J'ai été énormément dévalorisée étant jeune et jamais je n'ai eu une image corporelle à mon goût. Je me vois (encore) dans un miroir déformant (grossissant et "enlaidissant"). En plus, je suis une enfant du divorce qui a dû "choisir" un parent pour sa survie (en acceptant que 50 % de moi était raté...).
Par contre, je suis vue comme une personne ayant un front de boeuf. Partout où je vais, je fonce, j'aide, je prends la parole. Quitte à passer pour une déplacée. C'est ma façon de gérer ce manque de confiance et de solidité. Ça ne me force pas, je suis comme ça... Tu trouveras la tienne dans le créneau qui te convient.
Et si une fille (collègue, par exemple) me fout des complexes, je me force à aller lui parler. Souvent, le pot est vide ou alors je découvre une âme soeur.
En terminant, la culture, c'est comme la confiture. Moins tu en as, plus tu l'étales! Sans blagues, les gens qui parlent beaucoup n'ont pas nécessairement plus de connaissance, c'est du flash bien souvent. Les gens qui en savent le plus écoutent et s'immiscent dans la convesation au moment choisi.
Pour en avoir plus, il faut poser des questions ou se documenter. C'est aussi simple que ça. La fille qui a posé la question sur les casques bleus a eu (selon moi) un franc culot, surtout en ces jours où les médias en parlent plus que pas assez...
Mais ne joue pas un personnage, reste toi-même! :wink:
Si tu veux, je vais te parler un peu de moi pour essayer de t'aider un peu.
J'ai été énormément dévalorisée étant jeune et jamais je n'ai eu une image corporelle à mon goût. Je me vois (encore) dans un miroir déformant (grossissant et "enlaidissant"). En plus, je suis une enfant du divorce qui a dû "choisir" un parent pour sa survie (en acceptant que 50 % de moi était raté...).
Par contre, je suis vue comme une personne ayant un front de boeuf. Partout où je vais, je fonce, j'aide, je prends la parole. Quitte à passer pour une déplacée. C'est ma façon de gérer ce manque de confiance et de solidité. Ça ne me force pas, je suis comme ça... Tu trouveras la tienne dans le créneau qui te convient.
Et si une fille (collègue, par exemple) me fout des complexes, je me force à aller lui parler. Souvent, le pot est vide ou alors je découvre une âme soeur.
En terminant, la culture, c'est comme la confiture. Moins tu en as, plus tu l'étales! Sans blagues, les gens qui parlent beaucoup n'ont pas nécessairement plus de connaissance, c'est du flash bien souvent. Les gens qui en savent le plus écoutent et s'immiscent dans la convesation au moment choisi.
Pour en avoir plus, il faut poser des questions ou se documenter. C'est aussi simple que ça. La fille qui a posé la question sur les casques bleus a eu (selon moi) un franc culot, surtout en ces jours où les médias en parlent plus que pas assez...
Mais ne joue pas un personnage, reste toi-même! :wink: