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Grosse tuile...
- Auteur de la discussion Seleina
- Date de début
Oui, Susie, la derniere fois qu'on s'est disputé c'était a cause de ca d'ailleurs. Il s'attendait a ce que je lui annonce que j'allais le quitter. Pour moi, c'est un aveu. Sans compter la phrase qui dit tout : "Ne cherche pas a me comprendre, je suis inintéressant" Ca veut bien dire qu'il cherche a se valoriser aux yeux des autres avec ses histoires.
Je ne sais pas comment il réagira en voyant qu'il risque de me perdre... Il va se résigner surement. J'ai beau essayer de le rassurer pourtant.
Je vais essayer de discuter ce WE car je vais le voir, c'est une surprise d'ailleurs.
Je ne sais pas comment il réagira en voyant qu'il risque de me perdre... Il va se résigner surement. J'ai beau essayer de le rassurer pourtant.
Je vais essayer de discuter ce WE car je vais le voir, c'est une surprise d'ailleurs.
C'est vrai que c'est dur ce qui t'arrive... Mais comme tu le dis, la mythomanie est une maladie... Il faut que tu l'amènes à prendre conscience de cela, sans l'accuser de rien et en montrant que tu ne lui en veux pas et que tu es aussi là pour le soutenir. Essaie de voir comment il réagit, s'il reconnaît déjà son problème, ça peut être un grand pas !
Je te souhaite bon courage ! Tiens nous au courant !
Je te souhaite bon courage ! Tiens nous au courant !
!Hello les filles, j'ai un peu de nouveau...
Bon, comme ça fait 3 jours que je pleure à chaque fois qu'on s'appelle, il en est arrivé à ne plus dormir parce qu'il voulait savoir ce que j'avais. Il m'a même priée de ne pas me suicider alors que ce n'est pas du tout mon genre ça.
J'ai finit pas l'amener sur le terrain par une phrase toute simple: "Moi j'avais une bulle, mais toi c'est carrément un monde parallèle". Je n'ai jamais prononcé le mot mensonge bien que l'adjectif "imaginaire" l'ait été.
Et il s'est un peu lâché. Il m'a avoué qu'il a essayé d'en parler mais que la personne en face (un professionnel à priori) avait tjs fini par se heurter à un mur au bout d'un certain temps. Il a dû en voir au moins deux car il a mentionné lui-même qu'il n'avait peut-être pas trouvé les bonnes personnes.
Il m'a dit qu'il se crée un monde pour ne pas souffrir parce qu'il a eu trop mal. Mal à la mort (ou absence) de ses parents biologiques, mal à la suite de certaines ruptures, mal par rapport à la situation enviable selon lui de sa soeur, ses collègues, mariés avec une maison et des enfants. Et tout comme me l'a dit a soeur, il tergiverse sans arrêt car il a peur de prendre des décisions, peur du changement, peur de râter et du regard moqueur des autres.
Peur de me perdre. Là-dessus aussi je l'ai rassuré et en plus, il sait que je ne suis pas matérialiste. Je lui ai aussi confirmé que j'ai toujours plus ou moins su. Il m'a confié qu'avoir qq'un qui s'intéresse à lui pour lui et qui s'occupe de lui avec plein de petites attentions, il n'a jamais connu. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas abandonner en 6 mois une carapace fabriquée depuis l'enfance. Mais d'après ce que j'ai lu beaucoup promettent de changer et en restent au même point, voire même ça empire.
Enfin bref, les épaules solides sur lesquelles je me suis tant appuyée ces derniers mois s'avèrent être fragiles comme les miennes.
Je me suis finalement demandé si c'était de la mythomanie parce qu'il n'a pas l'air aussi sévèrement atteint que certains dont les proches décrivaient le comportement et qui m'ont carrément affolée. Toutefois, il reconnaît qu'il a un problème et je trouve que c'est un grand pas. Il s'agit toutefois de ne pas reculer.
Si la vie était simple ça se saurait! :roll:
Bon, comme ça fait 3 jours que je pleure à chaque fois qu'on s'appelle, il en est arrivé à ne plus dormir parce qu'il voulait savoir ce que j'avais. Il m'a même priée de ne pas me suicider alors que ce n'est pas du tout mon genre ça.
J'ai finit pas l'amener sur le terrain par une phrase toute simple: "Moi j'avais une bulle, mais toi c'est carrément un monde parallèle". Je n'ai jamais prononcé le mot mensonge bien que l'adjectif "imaginaire" l'ait été.
Et il s'est un peu lâché. Il m'a avoué qu'il a essayé d'en parler mais que la personne en face (un professionnel à priori) avait tjs fini par se heurter à un mur au bout d'un certain temps. Il a dû en voir au moins deux car il a mentionné lui-même qu'il n'avait peut-être pas trouvé les bonnes personnes.
Il m'a dit qu'il se crée un monde pour ne pas souffrir parce qu'il a eu trop mal. Mal à la mort (ou absence) de ses parents biologiques, mal à la suite de certaines ruptures, mal par rapport à la situation enviable selon lui de sa soeur, ses collègues, mariés avec une maison et des enfants. Et tout comme me l'a dit a soeur, il tergiverse sans arrêt car il a peur de prendre des décisions, peur du changement, peur de râter et du regard moqueur des autres.
Peur de me perdre. Là-dessus aussi je l'ai rassuré et en plus, il sait que je ne suis pas matérialiste. Je lui ai aussi confirmé que j'ai toujours plus ou moins su. Il m'a confié qu'avoir qq'un qui s'intéresse à lui pour lui et qui s'occupe de lui avec plein de petites attentions, il n'a jamais connu. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas abandonner en 6 mois une carapace fabriquée depuis l'enfance. Mais d'après ce que j'ai lu beaucoup promettent de changer et en restent au même point, voire même ça empire.
Enfin bref, les épaules solides sur lesquelles je me suis tant appuyée ces derniers mois s'avèrent être fragiles comme les miennes.
Je me suis finalement demandé si c'était de la mythomanie parce qu'il n'a pas l'air aussi sévèrement atteint que certains dont les proches décrivaient le comportement et qui m'ont carrément affolée. Toutefois, il reconnaît qu'il a un problème et je trouve que c'est un grand pas. Il s'agit toutefois de ne pas reculer.
Si la vie était simple ça se saurait! :roll: