Vous savez à peu près toutes ce qui m'arrive actuellement.
Certaines savent aussi que suite à cette très probable stérilité future, on avait décidé de se marier.
Et là, le bât blesse...
Nous sommes tous les deux d'accord pour dire que ce mariage ne représente que peu de choses pour nous, car nous considérons être au dessus de tout cela. Donc on a toujours été d'accord pour que ça soit la mairie, sans alliance.
C'est sur la présence éventuelle de certaines personnes que ça coince : pour mon homme, il voudrait qu'il n'y ait absolument PERSONNE, je considère que si nous n'invitons pas nos parents et soeurs respectifs, on risque d'avoir des ennuis et la tête...
Ses arguments sont les suivants :
- ce mariage ne représente rien pour nous, donc si on invite des gens, il va représenter quelque chose pour eux, or il ne faut pas.
- si on invite les parents, pourquoi est-ce que les grands-parents, amis seraient mis de côté.
Pas moyen de lui faire comprendre que si on fait ça en interdisant à quiconque de venir, on aura certainement moins de soutien pour la suite, et du soutien, on en aura besoin...
Il ose me dire que MA position sur le mariage n'est pas claire, mais refuse d'admettre que c'est la SIENNE qui ne l'est pas...
A chaque fois qu'on aborde ce sujet, c'est la dispute assurée, donc plus envie de l'aborder...
Mais si on voulait se marier, c'était pour gagner du temps, car les 28 ans exigés pour une adoption sont dans plus de 3 ans pour lui... On pouvait gagner 1 an et demi en se mariant maintenant...
Le truc, c'est qu'il se raccroche à fond à une hypothétique GPA, chose pas franchement aisée à réaliser à l'heure actuelle pour nous dans de bonnes conditions. L'adoption ne vient qu'après pour lui.
Je ne sais plus quoi faire, comment réussir à contrecarrer M.J'ai toujours raison (bon, il a rarement tort, mais des fois c'est usant, ras-le-bol des hyper cartésiens moi...)?
Fallait que ça sorte, en plus j'en ai parlé à ma psy, et elle est d'accord avec moi! (si je lui dis ça, il dira que j'ai dû déformer ses propos...)
Certaines savent aussi que suite à cette très probable stérilité future, on avait décidé de se marier.
Et là, le bât blesse...
Nous sommes tous les deux d'accord pour dire que ce mariage ne représente que peu de choses pour nous, car nous considérons être au dessus de tout cela. Donc on a toujours été d'accord pour que ça soit la mairie, sans alliance.
C'est sur la présence éventuelle de certaines personnes que ça coince : pour mon homme, il voudrait qu'il n'y ait absolument PERSONNE, je considère que si nous n'invitons pas nos parents et soeurs respectifs, on risque d'avoir des ennuis et la tête...
Ses arguments sont les suivants :
- ce mariage ne représente rien pour nous, donc si on invite des gens, il va représenter quelque chose pour eux, or il ne faut pas.
- si on invite les parents, pourquoi est-ce que les grands-parents, amis seraient mis de côté.
Pas moyen de lui faire comprendre que si on fait ça en interdisant à quiconque de venir, on aura certainement moins de soutien pour la suite, et du soutien, on en aura besoin...
Il ose me dire que MA position sur le mariage n'est pas claire, mais refuse d'admettre que c'est la SIENNE qui ne l'est pas...
A chaque fois qu'on aborde ce sujet, c'est la dispute assurée, donc plus envie de l'aborder...
Mais si on voulait se marier, c'était pour gagner du temps, car les 28 ans exigés pour une adoption sont dans plus de 3 ans pour lui... On pouvait gagner 1 an et demi en se mariant maintenant...
Le truc, c'est qu'il se raccroche à fond à une hypothétique GPA, chose pas franchement aisée à réaliser à l'heure actuelle pour nous dans de bonnes conditions. L'adoption ne vient qu'après pour lui.
Je ne sais plus quoi faire, comment réussir à contrecarrer M.J'ai toujours raison (bon, il a rarement tort, mais des fois c'est usant, ras-le-bol des hyper cartésiens moi...)?
Fallait que ça sorte, en plus j'en ai parlé à ma psy, et elle est d'accord avec moi! (si je lui dis ça, il dira que j'ai dû déformer ses propos...)