En lisant ton message, je me suis demandée, s'il était bon qu'il ait cette double prise en charge thérapeutique: psychologue et pédopsychiatre. Je crois que quand on est dans une thérapie, on créée une relation très particulière avec son thérapeute et que, grâce à elle, on peut remettre de l'ordre dans sa vie.
D'instinct, je ferais plus confiance dans le pédopsy car je n'ai pas trouvé la psy très professionnelle. D'autant qu'elle le suit depuis un an, elle ne se rend pas compte du comportement inadéquat de L.: par rapport à l'école, par rapport à sa grand-mère, par rapport à sa demi-soeur ?
Normalement, par le transfert, cette relation particulière avec son thérapeute, le comportement dans la "vraie" vie s'améliore et le vrai combat est avec le thérapeute... Aussi, je me demande comment il la voit, de quoi il lui parle, qu'est-ce qu'il retire de ces rencontres...
Pour la petite, depuis le début, je trouve qu'il faut lui donner un statut de victime... sans l'enfermer dans le statut, bien sûr, mais il faut qu'elle sache que personne ne peut s'accaparer de son corps comme ça, surtout pas tant qu'elle est enfant et surtout pas dans la famille.
Je ne suis pas d'accord quand tu dis que tu n'arrives plus à aimer ton enfant. Il me semble que tout le soin que tu lui apportes témoigne de ton amour. Je verrais plus ça comme l'évolution d'une histoire amoureuse où de la passion, on passe après un certain temps ou après certaines expériences à une compréhension, un soutien, un peu d'énervement devant les mêmes histoires entendues de nombreuses fois etc...
N'hésite pas à bien impliquer son papa dans la prise en charge (aussi, dans le fait de le conduire ou de le rechercher après son RV, de rencontrer le pédopsy, de discuter avec L). Ce sera bon pour tout le monde
Allez, courage !
D'instinct, je ferais plus confiance dans le pédopsy car je n'ai pas trouvé la psy très professionnelle. D'autant qu'elle le suit depuis un an, elle ne se rend pas compte du comportement inadéquat de L.: par rapport à l'école, par rapport à sa grand-mère, par rapport à sa demi-soeur ?
Normalement, par le transfert, cette relation particulière avec son thérapeute, le comportement dans la "vraie" vie s'améliore et le vrai combat est avec le thérapeute... Aussi, je me demande comment il la voit, de quoi il lui parle, qu'est-ce qu'il retire de ces rencontres...
Pour la petite, depuis le début, je trouve qu'il faut lui donner un statut de victime... sans l'enfermer dans le statut, bien sûr, mais il faut qu'elle sache que personne ne peut s'accaparer de son corps comme ça, surtout pas tant qu'elle est enfant et surtout pas dans la famille.
Je ne suis pas d'accord quand tu dis que tu n'arrives plus à aimer ton enfant. Il me semble que tout le soin que tu lui apportes témoigne de ton amour. Je verrais plus ça comme l'évolution d'une histoire amoureuse où de la passion, on passe après un certain temps ou après certaines expériences à une compréhension, un soutien, un peu d'énervement devant les mêmes histoires entendues de nombreuses fois etc...
N'hésite pas à bien impliquer son papa dans la prise en charge (aussi, dans le fait de le conduire ou de le rechercher après son RV, de rencontrer le pédopsy, de discuter avec L). Ce sera bon pour tout le monde
Allez, courage !