Bonsoir,
Enceinte de 16 semaines, je me pose la question de l'allaitement.
"allaiter ou ne pas allaiter"? là est la question!
Je suis fatiguée des personnes qui me posent la question, enfin quand elle la pose, car pour d'autres, je sens que cela est plus qu'évident.
Alors à la question : si je vais allaiter, je m'en tire avec des : "j'sais po".
Voilà, que la réponse que je n'ai pas mûrie, en laissant le temps au temps, m'est pratiquement donné, voire imposée par mes proches: je comprends alors qu'il faut allaiter.
Et moi, en ce moment, je n'arrive pas à me faire à cette idée.
au tout début de ma grossesse c'était hors de question, et puis maintenant je ne suis pas aussi catégorique, mais je n'en ai pas plus l'envie, le désir et le besoin que ça, pour le moment.
Je suis étonnée de constater, à quel point déjà, on peut vous mettre mal à l'aise dans votre rôle de mère.
C'est mieux pour le bébé, d'accord, mais le bébé, sera t-il vraiment bien, si au fond de moi j'éprouve un sentiment de rejet?
Franchement, je ne crois pas, et c'est en bonne mère, justement que je déciderais d'allaiter ou non bébé.
Mais, ça ne s'arrête pas là, comment "se justifier"? comment expliquer le pourquoi du comment?
Car l'allaitement ne pose pas ce problème, mais le non-allaitement volontaire, le pose.
Enceinte de 16 semaines, je me pose la question de l'allaitement.
"allaiter ou ne pas allaiter"? là est la question!
Je suis fatiguée des personnes qui me posent la question, enfin quand elle la pose, car pour d'autres, je sens que cela est plus qu'évident.
Alors à la question : si je vais allaiter, je m'en tire avec des : "j'sais po".
Voilà, que la réponse que je n'ai pas mûrie, en laissant le temps au temps, m'est pratiquement donné, voire imposée par mes proches: je comprends alors qu'il faut allaiter.
Et moi, en ce moment, je n'arrive pas à me faire à cette idée.
au tout début de ma grossesse c'était hors de question, et puis maintenant je ne suis pas aussi catégorique, mais je n'en ai pas plus l'envie, le désir et le besoin que ça, pour le moment.
Je suis étonnée de constater, à quel point déjà, on peut vous mettre mal à l'aise dans votre rôle de mère.
C'est mieux pour le bébé, d'accord, mais le bébé, sera t-il vraiment bien, si au fond de moi j'éprouve un sentiment de rejet?
Franchement, je ne crois pas, et c'est en bonne mère, justement que je déciderais d'allaiter ou non bébé.
Mais, ça ne s'arrête pas là, comment "se justifier"? comment expliquer le pourquoi du comment?
Car l'allaitement ne pose pas ce problème, mais le non-allaitement volontaire, le pose.