Bonjour
Je suis à bout, Eva n'arrête pas de faire des colères, d'exiger, de refuser, et quand elle n'a pas satisfaction elle me tape ou me mord. Je ne sais plus quoi faire. J'ai essayé la discussion, les punitions, les fessées, graduellement. Rien n'y fait. En plus ça va à l'encontre de ce que je veux. J'ai l'impression que plus on la punit ou lui met de claque elle s'endurcit. J'en suis venue à penser soit lui donner un calmant, soit en prendre moi-même. Je suis revenue de l'école en pleurant, après l'y avoir conduite elle dans une colère terrible. Ça me mine, ce n'est vraiment pas ce que j'imaginais comme relation. Je ne peux pas en parler à mon compagnon, c'est forcément ma faute. Il me ressortirait le couplet habituel, celui que j'entends depuis qu'elle avait huit mois (voyez que ça fait un bail) et que j'étais contre la laisser pleurer, quand j'ai adopté le cododo parce que l'allaitant, elle réclamait la nuit et que 1 j'étais comme un zombie ça a sauvé mon sommeil, 2 lui travaillant ne supportait pas d'être réveillé. Alors plutôt que d'entendre que j'ai tort, forcément ça doit être vrai mais de toute façon la discussion s'arrête AVANT la recherche de solutions convenant à TOUTE la famille (pourquoi en parler dans ces conditions ?), je ne fais que tâtonner et je perds les pédales. Je suis persuadée que la solution doit être trouvée en famille mais je dois me débrouiller seule. Mon mari voit notre fille comme un adulte en miniature, avec des solutions d'adulte applicables. Pour la punir il n'est pas le dernier, pour faire quelque chose seul à seule avec elle, il n'y a plus personne. Jamais il ne l'emmène au parc, rarement il lui lit une histoire, et il m'a fallu me bagarrer pour que les dessins animés ne soient plus systématiques pour avoir le calme. J'ai l'impression concernant notre fille de tout porter à bout de bras. Ok il bosse, il est fatigué. Moi je suis la fainéante à la maison, si si si. Mais je n'en peux plus de cette responsabilité que je n'arrive pas à sentir partagée avec justesse. Et je voudrais retrouver ma petite fille chérie.
Je suis à bout, Eva n'arrête pas de faire des colères, d'exiger, de refuser, et quand elle n'a pas satisfaction elle me tape ou me mord. Je ne sais plus quoi faire. J'ai essayé la discussion, les punitions, les fessées, graduellement. Rien n'y fait. En plus ça va à l'encontre de ce que je veux. J'ai l'impression que plus on la punit ou lui met de claque elle s'endurcit. J'en suis venue à penser soit lui donner un calmant, soit en prendre moi-même. Je suis revenue de l'école en pleurant, après l'y avoir conduite elle dans une colère terrible. Ça me mine, ce n'est vraiment pas ce que j'imaginais comme relation. Je ne peux pas en parler à mon compagnon, c'est forcément ma faute. Il me ressortirait le couplet habituel, celui que j'entends depuis qu'elle avait huit mois (voyez que ça fait un bail) et que j'étais contre la laisser pleurer, quand j'ai adopté le cododo parce que l'allaitant, elle réclamait la nuit et que 1 j'étais comme un zombie ça a sauvé mon sommeil, 2 lui travaillant ne supportait pas d'être réveillé. Alors plutôt que d'entendre que j'ai tort, forcément ça doit être vrai mais de toute façon la discussion s'arrête AVANT la recherche de solutions convenant à TOUTE la famille (pourquoi en parler dans ces conditions ?), je ne fais que tâtonner et je perds les pédales. Je suis persuadée que la solution doit être trouvée en famille mais je dois me débrouiller seule. Mon mari voit notre fille comme un adulte en miniature, avec des solutions d'adulte applicables. Pour la punir il n'est pas le dernier, pour faire quelque chose seul à seule avec elle, il n'y a plus personne. Jamais il ne l'emmène au parc, rarement il lui lit une histoire, et il m'a fallu me bagarrer pour que les dessins animés ne soient plus systématiques pour avoir le calme. J'ai l'impression concernant notre fille de tout porter à bout de bras. Ok il bosse, il est fatigué. Moi je suis la fainéante à la maison, si si si. Mais je n'en peux plus de cette responsabilité que je n'arrive pas à sentir partagée avec justesse. Et je voudrais retrouver ma petite fille chérie.