Je persiste dans mon point de vue en disant qu'il n'y a pas de lien maternelle entre une femme et ses ovules, ni de lien paternel entre un homme et ses spermatozoides!
Ensuite, ce qui pose soucis à une propostion inférieure à 50% des enfants adoptés, c'est qu'il veulent connaitre leurs "racines" pour savoir pourquoi ils ont été abandonnés. Ce sentiment d'abondon est un handicap à la construction d'une image valorisée de soi.
Expliquez moi comment un enfant porté dans le ventre de sa mère, élevé par ses parents, peut ressentir un sentiment d'abandon.
Au moment de votre ovulation, quand vous allez faire pipi et que votre ovule se fait la belle dans la cuvette de vos toilettes vous versez une petit larme?
Moi, je n'ai pas ce sentiment là!
Un ovule n'est pas un enfant tant qu'il n'a pas rencontré de spermatozoide!
Pimprenelle a dit :
Pour ma part, je pense que si autant de jeunes adultes, issus de don de gamètes, ont un malaise, c'est notamment car ils fantasment la personne qui a donné le gamète. Et ils fantasment car il est inconnu.
Je n'ai jamais entendu de cas de ce genre! Autant la démarche de retrouver ses parents biologiques, et notamment la mère, concerne 40% des enfants nés sous x puis adoptés (source de l'association aux droits aux origines), autant j'ignorais que cela concernait également les enfants nés d'un don de cellule ... tu as un lien à me proposer Pimprenelle STP ?