J'ai fait connaissance il y a un an avec la maman d'un petit garçon qui se trouve dans la même classe que Eva, et j'ai réellement sympathisé avec elle il n'y a que six mois.
Bien que cette sympathie soit récente, nous avons de nombreux points communs, que ce soit éducatif, couple, bref j'en suis à la considérer comme une amie.
C'est une personne très croyante, mais non-pratiquante. Elle vient de me demander si je veux bien être la marraine de son deuxième fils qui a 16 mois.
Pour ma part, je suis baptisée, confirmée, etc, mais je me suis longtemps passé de spiritualité, et c'est après la mort de mes jumeaux que j'ai eu un grand besoin de spiritualité qui m'a fait un peu renouer avec Dieu. Je fais ma petite visite à l'église de temps en temps (et en cachette en plus !), parce que c'est un endroit où je me sens bien et en paix. Mais à part ça je suis incapable de prendre en main l'éducation spirituelle de ma propre fille.
En plus, ces deux dernières années j'ai beaucoup veillé à éviter le contact avec les bébés, et je me sens vraiment nulle avec un enfant qui n'est pas le mien. Mais son petit garçon est trop craquant, et d'après sa maman je suis la seule femme de son entourage avec laquelle il se laisse porter, garder, et c'est une des raisons de son choix.
Je suis très touchée de sa demande, mais j'ai très peur de ne pas être à la hauteur, par tout ce que cela implique. Comment serait-je capable de mener un enfant vers la foi, alors que ce que moi-même je ressens est assez flou. Je sais qu'elle n'a cependant pas les mêmes exigences que l'Église catholique. J'ai vu qu'il est possible de n'être "que" témoin, mais si je propose cela à mon amie, je risque de la décevoir ?
J'ai peur de ne pas savoir m'investir humainement. C'est un bousculement de ma vie, je sais bien qu'il faudra en sortir un jour, mais ça me fait peur. En plus si c'était une amie de vingt ans me le demandait, je réfléchirais moins car je saurais qu'il y en aurait encore au moins pour vingts ans. Mais cette amitié est très récente.
J'aurais bien besoin de vos lumières
Bien que cette sympathie soit récente, nous avons de nombreux points communs, que ce soit éducatif, couple, bref j'en suis à la considérer comme une amie.
C'est une personne très croyante, mais non-pratiquante. Elle vient de me demander si je veux bien être la marraine de son deuxième fils qui a 16 mois.
Pour ma part, je suis baptisée, confirmée, etc, mais je me suis longtemps passé de spiritualité, et c'est après la mort de mes jumeaux que j'ai eu un grand besoin de spiritualité qui m'a fait un peu renouer avec Dieu. Je fais ma petite visite à l'église de temps en temps (et en cachette en plus !), parce que c'est un endroit où je me sens bien et en paix. Mais à part ça je suis incapable de prendre en main l'éducation spirituelle de ma propre fille.
En plus, ces deux dernières années j'ai beaucoup veillé à éviter le contact avec les bébés, et je me sens vraiment nulle avec un enfant qui n'est pas le mien. Mais son petit garçon est trop craquant, et d'après sa maman je suis la seule femme de son entourage avec laquelle il se laisse porter, garder, et c'est une des raisons de son choix.
Je suis très touchée de sa demande, mais j'ai très peur de ne pas être à la hauteur, par tout ce que cela implique. Comment serait-je capable de mener un enfant vers la foi, alors que ce que moi-même je ressens est assez flou. Je sais qu'elle n'a cependant pas les mêmes exigences que l'Église catholique. J'ai vu qu'il est possible de n'être "que" témoin, mais si je propose cela à mon amie, je risque de la décevoir ?
J'ai peur de ne pas savoir m'investir humainement. C'est un bousculement de ma vie, je sais bien qu'il faudra en sortir un jour, mais ça me fait peur. En plus si c'était une amie de vingt ans me le demandait, je réfléchirais moins car je saurais qu'il y en aurait encore au moins pour vingts ans. Mais cette amitié est très récente.
J'aurais bien besoin de vos lumières
