C'est le cas le plus banal, comme cela m'a été confirmé par un pédopsy et deux psychologues (j'ai un vécu de maltraitance morale, si cela peut te donner une idée) :
Souvent, la victime de maltraitance s'imagine que si elle est malmenée, c'est de sa faute, qu'elle fait tout de travers, et que c'est à elle de faire en sorte que sa famille ne soit plus en rogne, par exemple pour que son père alcoolique ne soit plus obligé de boire pour le supporter !
Et en plus, quand on a le courage de s'affranchir de cette maltraitance, on se sent coupable de laisser la famille à son comportement nocif, comme si c'était à nous, victimes, de porter leur croix !
D'où l'urgence, pour ton mari, de comprendre cela, pour pouvoir prendre du recul et revivre !
Souvent, la victime de maltraitance s'imagine que si elle est malmenée, c'est de sa faute, qu'elle fait tout de travers, et que c'est à elle de faire en sorte que sa famille ne soit plus en rogne, par exemple pour que son père alcoolique ne soit plus obligé de boire pour le supporter !
Et en plus, quand on a le courage de s'affranchir de cette maltraitance, on se sent coupable de laisser la famille à son comportement nocif, comme si c'était à nous, victimes, de porter leur croix !
D'où l'urgence, pour ton mari, de comprendre cela, pour pouvoir prendre du recul et revivre !