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Les mères trop mères....
- Auteur de la discussion Mumu
- Date de début
Ben perso c'est un vrai crève coeur pour moi d'avoir quitter ma région, et surtout ma maman, on s'appelle très souvent, sans compter les textos et elle me manque plus que tout au monde (rien que d'ecrire ca j'en pleure :?), tout le monde me dis que je lui ressemble traits pour trait, niveau caractère et psy. Ben ca m'a jamais empecher de vouloir des enfants et que si je peux leur donner le meme cocon que j'ai eu et la meme education, ca sera ma plus grande joie. C'est n'importe quoi de faire des généralités pareille... du populisme encore une fois...
PS : Mumu, j'ai pas retrouvé l'article sans ca j'aurais mis un petit mot à leur attention :twisted:
PS : Mumu, j'ai pas retrouvé l'article sans ca j'aurais mis un petit mot à leur attention :twisted:
Tout à fait d'accord avec toi Mumu.
On se calme les filles, il faut pas se sentir viser dès lors que l'on est une mère. Il est normal de couver son enfant, de l'adorer etc...
Je pense que l'article fait référence à des cas pathologique d'un point de vue psychiatrique, et c'est vrai que ça existe. Je suis sure que vous avez toutes au cours de votre vie croisé ce genre de lien maternel trop ettoufant pour un enfant. Alors on a le lien mère fils qui peut devenir dramatique pour le fils (et parfois pour nous les compagnes s'ils arrivent encore à avoir une compagne) et ça arrive aussi dans la relation mère fille. Mais parfois la fille n'est pas consciente que la relation existante avec sa mère l'empeche de s'épanouir en tant que femme ou mère.
J'ai récemment offer à une amie très proche un bouquin de Marcel Ruffo qui s'appelle "Détache moi" sur le sujet. Je lui ai dit que je lui offrais ce livre car j'étais son amie. Elle ne l'a pas mal pris, mais n'a pas lu le livre (4 mois maintenant), ne m'en parle jamais. Bref, j'ai pas le temps de m'étendre car je dois filer.
A ce soir, et toujours aussi ravie de pouvoir débattre de ce genre de sujet avec vous toutes.
C'est très enrichissant. J'adore .................
Bisous
On se calme les filles, il faut pas se sentir viser dès lors que l'on est une mère. Il est normal de couver son enfant, de l'adorer etc...
Je pense que l'article fait référence à des cas pathologique d'un point de vue psychiatrique, et c'est vrai que ça existe. Je suis sure que vous avez toutes au cours de votre vie croisé ce genre de lien maternel trop ettoufant pour un enfant. Alors on a le lien mère fils qui peut devenir dramatique pour le fils (et parfois pour nous les compagnes s'ils arrivent encore à avoir une compagne) et ça arrive aussi dans la relation mère fille. Mais parfois la fille n'est pas consciente que la relation existante avec sa mère l'empeche de s'épanouir en tant que femme ou mère.
J'ai récemment offer à une amie très proche un bouquin de Marcel Ruffo qui s'appelle "Détache moi" sur le sujet. Je lui ai dit que je lui offrais ce livre car j'étais son amie. Elle ne l'a pas mal pris, mais n'a pas lu le livre (4 mois maintenant), ne m'en parle jamais. Bref, j'ai pas le temps de m'étendre car je dois filer.
A ce soir, et toujours aussi ravie de pouvoir débattre de ce genre de sujet avec vous toutes.
C'est très enrichissant. J'adore .................
Bisous
Flo & Mumu ont raison les filles, ne vous emportez pas et surtout, ne vous sentez pas visées.
Ce sont des cas rares et extrêmes comme le souligne Mumu quand la fille n'arrive pas a se différencier de la mère et on peut tout à fait être mère poule et laisser respirer sa fille.
Mais, si ca va beaucoup plus loin que "laisser respirer son enfant".
Il faut aussi prendre en compte le papa qui, de part son absence (physique ou morale) semble n’avoir jamais pris la place de tiers permettant la triangulation œdipienne. Dans ce cas là, l'emprise sur l'enfant est purement maternelle. Cette emprise entrave le processus de séparation / individualisation de l’enfant. On constate alors un lien pathologique mère / enfant. L’enfant ne peut pas devenir « sujet » et constituer son individualité lorsqu’il établit un lien pathologique avec sa mère.
Bien entendu, celà ne s'applique aucunement a TOUS les foyers monoparentaux, mais là n'est pas le sujet.... et bien évidement, vous l'aurez compris, celà s'applique encore moins aux mères poules que nous sommes toutes ici
C'est bien plus complexe que çà....
Ce sont des cas rares et extrêmes comme le souligne Mumu quand la fille n'arrive pas a se différencier de la mère et on peut tout à fait être mère poule et laisser respirer sa fille.
Mais, si ca va beaucoup plus loin que "laisser respirer son enfant".
Il faut aussi prendre en compte le papa qui, de part son absence (physique ou morale) semble n’avoir jamais pris la place de tiers permettant la triangulation œdipienne. Dans ce cas là, l'emprise sur l'enfant est purement maternelle. Cette emprise entrave le processus de séparation / individualisation de l’enfant. On constate alors un lien pathologique mère / enfant. L’enfant ne peut pas devenir « sujet » et constituer son individualité lorsqu’il établit un lien pathologique avec sa mère.
Bien entendu, celà ne s'applique aucunement a TOUS les foyers monoparentaux, mais là n'est pas le sujet.... et bien évidement, vous l'aurez compris, celà s'applique encore moins aux mères poules que nous sommes toutes ici
C'est bien plus complexe que çà....