F
Mojo, j'ai cherché pour toi:
Le profil habituel des personnes atteintes de la coqueluche a changé dû à la large couverture vaccinale. Elle est devenue presque absente de la tranche d’âge cible (6 mois à 10 ans) mais elle est en pleine émergence chez les jeunes adultes. La coqueluche est devenue tardive et atypique. Dans cette nouvelle population cible, la coqueluche se manifeste avec des symptômes peu caractéristiques car elle est encore partiellement immunisée par les vaccins reçus pendant l’enfance. De ce fait, elle est difficile à diagnostiquer et elle fait plus penser à un gros rhume. Elle est rarement mortelle chez l’adulte. L’adulte représente un réservoir important de la maladie et une source majeure de transmission de l'infection aux nourrissons. Il est donc le plus souvent responsable de la contamination de nourrissons trop jeunes pour avoir eu une vaccination complète. Leur vaccination s’étale sur trois injections à 2, 3 et 4 mois mais elle ne confère une immunité correcte que vers 4 à 6 mois du au fait de l’immaturité du système immunitaire. Si l’âge de nourrisson est inférieur à 3 mois, il sera systématiquement hospitalisé.
Pour diminuer cette recrudescence de la coqueluche, les deux solutions en vigueur sont :
Vacciner les adultes et les adolescents. En France depuis 1998, un rappel du vaccin « acellulaire » est proposé aux enfants dès l’âge de 11 ans. En 2004, cette recommandation de rappel est aussi conseillée pour les adultes en contact avec des nourrissons tels que des professionnels ou des futurs parents. Mais la participation des adolescents et des adultes à des programmes de vaccination est mauvaise.
Vacciner les nourrissons le plus tôt possible. Pour une protection optimale, il est nécessaire de faire 3 injections du vaccin à 1 mois d’intervalle. De ce fait, ils ne seraient pas totalement protégés jusqu’à l’âge de 4 mois.
Cependant ces 2 solutions ne présentent pas une efficacité optimale d’où la recherche d’une troisième solution par les chercheurs de l’institut de l’INSERM : le développement d’un nouveau vaccin.
D'après ce que j'ai compris, il faut vacciner les jeunes adultes (si ils ne le sont pas) pour ne pas qu'ils contaminent les nourrissons mais relis car je ne me fais pas confiance!
Madins, il est terriblement beau!
Le profil habituel des personnes atteintes de la coqueluche a changé dû à la large couverture vaccinale. Elle est devenue presque absente de la tranche d’âge cible (6 mois à 10 ans) mais elle est en pleine émergence chez les jeunes adultes. La coqueluche est devenue tardive et atypique. Dans cette nouvelle population cible, la coqueluche se manifeste avec des symptômes peu caractéristiques car elle est encore partiellement immunisée par les vaccins reçus pendant l’enfance. De ce fait, elle est difficile à diagnostiquer et elle fait plus penser à un gros rhume. Elle est rarement mortelle chez l’adulte. L’adulte représente un réservoir important de la maladie et une source majeure de transmission de l'infection aux nourrissons. Il est donc le plus souvent responsable de la contamination de nourrissons trop jeunes pour avoir eu une vaccination complète. Leur vaccination s’étale sur trois injections à 2, 3 et 4 mois mais elle ne confère une immunité correcte que vers 4 à 6 mois du au fait de l’immaturité du système immunitaire. Si l’âge de nourrisson est inférieur à 3 mois, il sera systématiquement hospitalisé.
Pour diminuer cette recrudescence de la coqueluche, les deux solutions en vigueur sont :
Vacciner les adultes et les adolescents. En France depuis 1998, un rappel du vaccin « acellulaire » est proposé aux enfants dès l’âge de 11 ans. En 2004, cette recommandation de rappel est aussi conseillée pour les adultes en contact avec des nourrissons tels que des professionnels ou des futurs parents. Mais la participation des adolescents et des adultes à des programmes de vaccination est mauvaise.
Vacciner les nourrissons le plus tôt possible. Pour une protection optimale, il est nécessaire de faire 3 injections du vaccin à 1 mois d’intervalle. De ce fait, ils ne seraient pas totalement protégés jusqu’à l’âge de 4 mois.
Cependant ces 2 solutions ne présentent pas une efficacité optimale d’où la recherche d’une troisième solution par les chercheurs de l’institut de l’INSERM : le développement d’un nouveau vaccin.
D'après ce que j'ai compris, il faut vacciner les jeunes adultes (si ils ne le sont pas) pour ne pas qu'ils contaminent les nourrissons mais relis car je ne me fais pas confiance!
Madins, il est terriblement beau!