Bon... je le présente... Quentin, 25 mois... enfant coquin, malin, câlin, têtu, obstiné...
Là il est entrain de hurler derrière sa porte de chambre... il m'appelle... je sais plus quoi faire...
Je viens d'aller le changer il était trempé comme s'il avait couru un 100m. Ça fait 45 minutes que ça dure... et ce depuis 1 semaine. Tous les soirs c'est la même chose.
Plus moyen de le coucher, il ne veut s'endormir qu'après avoir joué, bu, lu un livre, et pour finir il se blotti contre nous et ne voudrait s'endormir que comme ça.
Seulement nous on n'appréhende qu'une chose, c'est que le jour où on cédera, la brèche sera ouverte et qu'il n'y aura pas moyen de revenir en arrière...
Donc là ce soir j'y vais tous les 1/4 d'heure... il pleure encore et toujours et dès que je lui dis : vas dans ton lit avec ma voix la plus douce possible, il y va, et se blotti contre moi quand je me mets contre le lit... et dès que je me lève, il se remet a pleurer avec le plus gros chagrin du monde...
Je veux bien ne pas céder aux caprices, être ferme, ou encore être la plus douce possible et le consoler... Rien n'y fait...
Une idée ?
J'édite pour apporter une précision de dernière minute... on est allé le chercher... là il est sur les genoux de son père, il rit aux éclats... il n'a même pas les yeux gonflés d'avoir tant pleuré...
Là il est entrain de hurler derrière sa porte de chambre... il m'appelle... je sais plus quoi faire...
Je viens d'aller le changer il était trempé comme s'il avait couru un 100m. Ça fait 45 minutes que ça dure... et ce depuis 1 semaine. Tous les soirs c'est la même chose.
Plus moyen de le coucher, il ne veut s'endormir qu'après avoir joué, bu, lu un livre, et pour finir il se blotti contre nous et ne voudrait s'endormir que comme ça.
Seulement nous on n'appréhende qu'une chose, c'est que le jour où on cédera, la brèche sera ouverte et qu'il n'y aura pas moyen de revenir en arrière...
Donc là ce soir j'y vais tous les 1/4 d'heure... il pleure encore et toujours et dès que je lui dis : vas dans ton lit avec ma voix la plus douce possible, il y va, et se blotti contre moi quand je me mets contre le lit... et dès que je me lève, il se remet a pleurer avec le plus gros chagrin du monde...
Je veux bien ne pas céder aux caprices, être ferme, ou encore être la plus douce possible et le consoler... Rien n'y fait...
Une idée ?
J'édite pour apporter une précision de dernière minute... on est allé le chercher... là il est sur les genoux de son père, il rit aux éclats... il n'a même pas les yeux gonflés d'avoir tant pleuré...