Je vous raconte ma matinée :?
Je dépose Eva au jardin d'enfants, je demande à la directrice qu'elle y déjeune demain car je suis persuadée que ça va se décanter ce matin.
J'arrive à 9h15 aux urgences, j'attends un certain temps parmi des bedaines, puis l'infirmière m'appelle, test d'urine, tension, etc, et je retourne en salle d'attente. 10h15, je suis recroquevillée sur mon siège, je pleure, une dame de l'accueil passe, c'est à elle que lundi je me suis adressée, elle me questionne, je lui dit que j'attend l'interne, mais que j'aurais préféré voir G, l'obstétricien qui me suivait pendant et après ma précédente grossesse. Elle passe un appel, me dit qu'il n'est pas là, mais ma gynéco oui, et elle me fait monter aux consultations. 10h30 je vois ma gygy ! (chouette les grèves, la moitié de ses rdv sont en retard). Elle m'examine, mon col est légèrement entrouvert, probablement un effet du cytotec. Elle se rend compte de mon état, est d'accord que si je peux avoir une aspiration rapidement c'est mieux, et essaie de me trouver un médecin pour une écho pour voir où ça en est. Je redescends à l'accueil, la dame qui m'a fait monter passe des appels aussi pour faire venir le médecin de garde, et me fait aller dans une salle d'examen. Misère ! j'y retrouve une des internes de lundi + une autre. Comme elles ne comprennent rien au matériel d'écho, elles galèrent, et finalement c'est 11h20 et dans moins de 10 min je dois avoir récupérer Eva donc je file, pas le choix, en passant par l'accueil où la dame ne comprend pas pourquoi j'ai vu des internes, rappelle le doc de garde et convient qu'il me fera une écho demain, elle garde mon dossier et c'est elle a elle que je vais m'adresser dès que j'arrive demain. Après, il faudra un rdv anesthésie et le rdv intervention.
Ce n'est vraiment pas simple...
Pfff, un coup pour rien. Ou presque, j'ai quand même pu parler à ma gynéco, elle m'a bien comprise. Le problème dans le cas de l'aspiration (ce que je veux), c'est que j'ai quand même la trouille car je ne veux pas passer entre les mains de n'importe qui. Ma gynéco ne peut pas intervenir à l'hopital. C'est pourquoi je voudrais avoir affaire à G qui me connait et en qui j'ai confiance. C'est sans doute idiot, mais c'est depuis lundi à cause de cette interne qui m'a parlé du risque du geste pour que je choisisse le cytotec. Elle m'a juste foutu la trouille, et même si je sais que ça ne sera pas un interne qui le fera, ça ne suffit pas pour me rassurer.
Demain je mets Eva toute la journée au jardin d'enfants, et même si je sors de bonne heure, ça me permettra de me reposer ensuite.
Je vous raconte un roman, mais vous êtes là et me soutenez, et je n'ai même pas pu joindre mon homme qui était en réunion.
Hier soir une amie très chère m'a appelé d'Australie pour me soutenir, Dieu que ça m'a fait du bien de l'entendre, il y a 10h de décalage mais elle a trouvé le moment.
Je dépose Eva au jardin d'enfants, je demande à la directrice qu'elle y déjeune demain car je suis persuadée que ça va se décanter ce matin.
J'arrive à 9h15 aux urgences, j'attends un certain temps parmi des bedaines, puis l'infirmière m'appelle, test d'urine, tension, etc, et je retourne en salle d'attente. 10h15, je suis recroquevillée sur mon siège, je pleure, une dame de l'accueil passe, c'est à elle que lundi je me suis adressée, elle me questionne, je lui dit que j'attend l'interne, mais que j'aurais préféré voir G, l'obstétricien qui me suivait pendant et après ma précédente grossesse. Elle passe un appel, me dit qu'il n'est pas là, mais ma gynéco oui, et elle me fait monter aux consultations. 10h30 je vois ma gygy ! (chouette les grèves, la moitié de ses rdv sont en retard). Elle m'examine, mon col est légèrement entrouvert, probablement un effet du cytotec. Elle se rend compte de mon état, est d'accord que si je peux avoir une aspiration rapidement c'est mieux, et essaie de me trouver un médecin pour une écho pour voir où ça en est. Je redescends à l'accueil, la dame qui m'a fait monter passe des appels aussi pour faire venir le médecin de garde, et me fait aller dans une salle d'examen. Misère ! j'y retrouve une des internes de lundi + une autre. Comme elles ne comprennent rien au matériel d'écho, elles galèrent, et finalement c'est 11h20 et dans moins de 10 min je dois avoir récupérer Eva donc je file, pas le choix, en passant par l'accueil où la dame ne comprend pas pourquoi j'ai vu des internes, rappelle le doc de garde et convient qu'il me fera une écho demain, elle garde mon dossier et c'est elle a elle que je vais m'adresser dès que j'arrive demain. Après, il faudra un rdv anesthésie et le rdv intervention.
Ce n'est vraiment pas simple...
Pfff, un coup pour rien. Ou presque, j'ai quand même pu parler à ma gynéco, elle m'a bien comprise. Le problème dans le cas de l'aspiration (ce que je veux), c'est que j'ai quand même la trouille car je ne veux pas passer entre les mains de n'importe qui. Ma gynéco ne peut pas intervenir à l'hopital. C'est pourquoi je voudrais avoir affaire à G qui me connait et en qui j'ai confiance. C'est sans doute idiot, mais c'est depuis lundi à cause de cette interne qui m'a parlé du risque du geste pour que je choisisse le cytotec. Elle m'a juste foutu la trouille, et même si je sais que ça ne sera pas un interne qui le fera, ça ne suffit pas pour me rassurer.
Demain je mets Eva toute la journée au jardin d'enfants, et même si je sors de bonne heure, ça me permettra de me reposer ensuite.
Je vous raconte un roman, mais vous êtes là et me soutenez, et je n'ai même pas pu joindre mon homme qui était en réunion.
Hier soir une amie très chère m'a appelé d'Australie pour me soutenir, Dieu que ça m'a fait du bien de l'entendre, il y a 10h de décalage mais elle a trouvé le moment.