Je suis comme toi Hélène...Une de plus...
Seulement moi, je n'ai pas le choix: financièrement, je dois travailler. Je n'ai même pas le recours de me dire, si vraiment demain, je n'en peux plus, et bien j'arrête!
Il n'y a pas une semaine où je n'ai pas un coup de blues en pensant à ma fille. J'essaie comme toutes les autres, d'en profiter au maximum dès que nous sommes ensemble, mais bon, on a beau dire, ça ne remplace pas toutes ces journées où je ne suis pas avec elle.
J'espère simplement ne pas avoir trop de regrets plus tard, lorsqu'elle sera plus grande et qu'elle aura moins besoin de moi.