Bonjour à toutes!
Ma dpa est le 12 octobre. A la dernière visite, mardi, mon gyné m'a dit que le col était encore très "mobile" (quésako? moi pas savoir). Et dans la mesure où mon placenta n'est vraiment pas top, il proposait de me déclencher fin de semaine prochaine si rien ne s'était déclaré jusque là...
Ce n'est vraiment pas ce que j'ai envie de vivre comme accouchement... Pour le premier, péri mal dosée, j'étais complètement shootée, ce qui m'a conduit à envisager une autre méthode pour mettre au monde ce petit bout à venir; une sf viendrait à la maison en début de travail et m'accompagnerait à l'hôpital quand les choses se préciseraient. Et si possible (je dis bien si possible, facile de parler quand on n'a pas mal...), j'aimerais me passer de péri. Mais voilà, avec ce revirement de situation tout s'écroule... J'ai envie de vivre ces instants de doute où on ne sait pas vraiment si c'est l'accouchement qui commence ou non, j'ai envie d'avoir la surprise de la date de naissance de ma puce jusqu'au dernier moment, j'ai envie de zénitude chez moi avant l'ambiance "clinique"... Mais plus ça va, et plus je me dis que je cours vers un déclenchement. Et plus je me dis ça, plus je me dis que je bloque psychologiquement un éventuel travail... et plus je me dis ça, plus j'y pense, et le cercle vicieux se referme...
Désolée d'être un peu longue, pas mal de choses sur le coeur à l'approche du terme...
Donc voici ma question... auriez-vous des trucs pour que le travail s'enclenche naturellement? J'essaie de marcher, être active, mais tellement le moral dans les baskets que je retourne vite me vautrer dans le canapé... Ou alors n'y a-t-il vraiment rien d'autre à faire que d'attendre?
Merci pour vos témoignages...
Syl
Ma dpa est le 12 octobre. A la dernière visite, mardi, mon gyné m'a dit que le col était encore très "mobile" (quésako? moi pas savoir). Et dans la mesure où mon placenta n'est vraiment pas top, il proposait de me déclencher fin de semaine prochaine si rien ne s'était déclaré jusque là...
Ce n'est vraiment pas ce que j'ai envie de vivre comme accouchement... Pour le premier, péri mal dosée, j'étais complètement shootée, ce qui m'a conduit à envisager une autre méthode pour mettre au monde ce petit bout à venir; une sf viendrait à la maison en début de travail et m'accompagnerait à l'hôpital quand les choses se préciseraient. Et si possible (je dis bien si possible, facile de parler quand on n'a pas mal...), j'aimerais me passer de péri. Mais voilà, avec ce revirement de situation tout s'écroule... J'ai envie de vivre ces instants de doute où on ne sait pas vraiment si c'est l'accouchement qui commence ou non, j'ai envie d'avoir la surprise de la date de naissance de ma puce jusqu'au dernier moment, j'ai envie de zénitude chez moi avant l'ambiance "clinique"... Mais plus ça va, et plus je me dis que je cours vers un déclenchement. Et plus je me dis ça, plus je me dis que je bloque psychologiquement un éventuel travail... et plus je me dis ça, plus j'y pense, et le cercle vicieux se referme...
Désolée d'être un peu longue, pas mal de choses sur le coeur à l'approche du terme...
Donc voici ma question... auriez-vous des trucs pour que le travail s'enclenche naturellement? J'essaie de marcher, être active, mais tellement le moral dans les baskets que je retourne vite me vautrer dans le canapé... Ou alors n'y a-t-il vraiment rien d'autre à faire que d'attendre?
Merci pour vos témoignages...
Syl