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soucis avec mon grand frère
- Auteur de la discussion touna
- Date de début
Re : soucis avec mon grand frère
Tu sais Touna, si il "tient" une semaine sans alcool, peu importe les circonstances c'est qu'il n'est effectivement pas alcoolique. Un vrai alcoolique ressent un manque physique, un besoin de boire qui revient plusieurs fois par jour, peu importe les circonstances, même entouré des siens, même occupé et à la limite même s'il est plutôt heureux. Le sevrage ça sert à se passer physiquement d'alcool (de drogue, de médicaments, enfin du truc auquel on est accro). Donc si il s'en passe déjà c'est inutile (à moins qu'il n'ai menti sur son abstinence de ces derniers jours).
Par contre ce qui peut se passer c'est qu'il se sert de l'alcool comme anti-dépresseur, pour ses effets euphorisants quand il n'a pas le moral. Sauf que c'est passager, que le moral replonge dès que la sobriété revient et que donc il re-boit. Ca voudrait dire que c'est bien la dépression qui le pousse à boire et pas l'alcoolisme qui le rend dépressif. Donc il reste à espérer que ce séjour à l'hopital lui permettra de remonter un peu la pente, de commencer à trouver les resources mentales pour se prendre en charge.
Bon courage à vous, sa famille, c'est très éprouvant tout ça.
Tu sais Touna, si il "tient" une semaine sans alcool, peu importe les circonstances c'est qu'il n'est effectivement pas alcoolique. Un vrai alcoolique ressent un manque physique, un besoin de boire qui revient plusieurs fois par jour, peu importe les circonstances, même entouré des siens, même occupé et à la limite même s'il est plutôt heureux. Le sevrage ça sert à se passer physiquement d'alcool (de drogue, de médicaments, enfin du truc auquel on est accro). Donc si il s'en passe déjà c'est inutile (à moins qu'il n'ai menti sur son abstinence de ces derniers jours).
Par contre ce qui peut se passer c'est qu'il se sert de l'alcool comme anti-dépresseur, pour ses effets euphorisants quand il n'a pas le moral. Sauf que c'est passager, que le moral replonge dès que la sobriété revient et que donc il re-boit. Ca voudrait dire que c'est bien la dépression qui le pousse à boire et pas l'alcoolisme qui le rend dépressif. Donc il reste à espérer que ce séjour à l'hopital lui permettra de remonter un peu la pente, de commencer à trouver les resources mentales pour se prendre en charge.
Bon courage à vous, sa famille, c'est très éprouvant tout ça.
