L'incontournable histoire d'amour LE monument :
La passion de Solal et d'Ariane , une passion flamboyante qui peu à peu va se désagrèger.
Si mes souvenirs sont exacts 700 pages de passion...et une petite dizaine d'amour poussé à son paroxysme...
:arrow: Belle du seigneur D'Albert Cohen
9€ chez Folio.
Résumé :
Ariane, jeune aristocrate protestante, a épousé Adrien, un petit bourgeois dont Solal, juif séducteur, est le responsable hiérarchique.
Solal voudrait qu'elle l'aime vieux et laid.
C'est sous l'apparence d'un vieillard édenté qu'il essaie de la séduire. Pour satisfaire son ambition, Adrien va tout faire inconsciemment pour favoriser leurs amours.
Irrésistible, Solal l'est et Ariane succombe...
Extraits :
"...elle lui tendit les mains. Il les prit, et il plia le genou devant elle. Inspirée, elle plia le genou devant lui, et si noblement qu'elle renversa la théière, les tasses, le pot à lait et toutes les rondelles de citron. Agenouillés, ils se souriaient, dents éclatantes, dents de jeunesse. Agenouillés, ils étaient ridicules, ils étaient fiers et beaux, et vivre était sublime..."
"Baiser qui n'était plus qu'un rite, pensa-t-il. O le baisemain sacré du premier soir au Ritz, ce don enthousiaste de l'âme."
La passion de Solal et d'Ariane , une passion flamboyante qui peu à peu va se désagrèger.
Si mes souvenirs sont exacts 700 pages de passion...et une petite dizaine d'amour poussé à son paroxysme...
:arrow: Belle du seigneur D'Albert Cohen
Résumé :
Ariane, jeune aristocrate protestante, a épousé Adrien, un petit bourgeois dont Solal, juif séducteur, est le responsable hiérarchique.
Solal voudrait qu'elle l'aime vieux et laid.
C'est sous l'apparence d'un vieillard édenté qu'il essaie de la séduire. Pour satisfaire son ambition, Adrien va tout faire inconsciemment pour favoriser leurs amours.
Irrésistible, Solal l'est et Ariane succombe...
Extraits :
"...elle lui tendit les mains. Il les prit, et il plia le genou devant elle. Inspirée, elle plia le genou devant lui, et si noblement qu'elle renversa la théière, les tasses, le pot à lait et toutes les rondelles de citron. Agenouillés, ils se souriaient, dents éclatantes, dents de jeunesse. Agenouillés, ils étaient ridicules, ils étaient fiers et beaux, et vivre était sublime..."
"Baiser qui n'était plus qu'un rite, pensa-t-il. O le baisemain sacré du premier soir au Ritz, ce don enthousiaste de l'âme."