salut
j'interviens un peu tard ds la discussion, mais tant pis, j'mets mon grain de sel.
dans nos société, il est faux de dire qu'il y a une "coutume" de l'enfant qui vient de ses parents et de personne d'autre.
il n'y a pas si longtemps, on va dire avant guerre, il arrivait souvent qu'une femme n'ayant aucun pb pour procréer donne l'un de ses enfants à sa soeur si elle avait du mal à en avoir.
ainsi, la soeur de ma grand-mère fut élevée par sa tante sans qu'elle sache jamais que ce n'était pas sa mère. Et pourtant, mon arrière-grand-mère aimait sa seconde fille autant que la première ! Il ne s'agissait pas de rejeter un enfant mais d'offrir à sa soeur le bonheur d'être mère.
je ne porte pas de jugement là dessus, est-ce bien ou mal, en tout ça c'était un truc répandu et assez normal, surtout chez les paysans d'ailleurs(mais ça ne veut rien dire, je connais plus ce milieu que les autres, peut-être est-ce que ça se faisait aussi chez les bourgeois ?).
là où ça devient problématique, c'est quand il y a une histoire d'argent là dessous. Il est difficile de croire que les raisons qui poussent les mères porteuses sont purement désintêressées... :rolleyes:
enfin tout ça pour dire que les mères proteuses, c'est loin d'être la même chose que le clonage, c'est plutôt une coutume ancestrâle disparue de nos sociétés quand le discours génétique est venu se greffer au principe de parentalité. Qui est le parent, c'est tjrs la même question qui revient. Pour moi, donner son enfant à une autre, c'est aussi un acte d'amour : ma soeur vient de me dire que si je n'avais pas d'enfant, elle voulait bien en porter un pour moi, et ça me touche bcp.
vaste débat !
biz
syl
j'interviens un peu tard ds la discussion, mais tant pis, j'mets mon grain de sel.
dans nos société, il est faux de dire qu'il y a une "coutume" de l'enfant qui vient de ses parents et de personne d'autre.
il n'y a pas si longtemps, on va dire avant guerre, il arrivait souvent qu'une femme n'ayant aucun pb pour procréer donne l'un de ses enfants à sa soeur si elle avait du mal à en avoir.
ainsi, la soeur de ma grand-mère fut élevée par sa tante sans qu'elle sache jamais que ce n'était pas sa mère. Et pourtant, mon arrière-grand-mère aimait sa seconde fille autant que la première ! Il ne s'agissait pas de rejeter un enfant mais d'offrir à sa soeur le bonheur d'être mère.
je ne porte pas de jugement là dessus, est-ce bien ou mal, en tout ça c'était un truc répandu et assez normal, surtout chez les paysans d'ailleurs(mais ça ne veut rien dire, je connais plus ce milieu que les autres, peut-être est-ce que ça se faisait aussi chez les bourgeois ?).
là où ça devient problématique, c'est quand il y a une histoire d'argent là dessous. Il est difficile de croire que les raisons qui poussent les mères porteuses sont purement désintêressées... :rolleyes:
enfin tout ça pour dire que les mères proteuses, c'est loin d'être la même chose que le clonage, c'est plutôt une coutume ancestrâle disparue de nos sociétés quand le discours génétique est venu se greffer au principe de parentalité. Qui est le parent, c'est tjrs la même question qui revient. Pour moi, donner son enfant à une autre, c'est aussi un acte d'amour : ma soeur vient de me dire que si je n'avais pas d'enfant, elle voulait bien en porter un pour moi, et ça me touche bcp.
vaste débat !
biz
syl