Perdre des ami(e)s dès qu'ils ont leur(s) bébé(s)?

[marly]

Salut Gruenemaus,

j'ai deux enfants, et nous n'avons pas changé nos habitudes quant à nos amis ; les soirées se font toujours au même rythme... on s'adapte juste un peu (le côté organisationnel est un peu plus élaboré )

La seule chose qui a changé pour nous, ce sont les sorties cinéma (mais là, on n'en faisait que tous les deux).

De nos amis, nous avons été les premiers à avoir des enfants. On les a toujours emmenés avec nous et on les a toujours couchés (que ce soit à la maison ou chez les autres).

Par contre, certains de nos amis se sont éloignés à la naissance de leurs propres enfants...
Nous avons parfois un peu de mal à comprendre sachant que nous avons toujours tenu à garder notre vie sociale... (je précise que je parle de couples que plus personne ne voient jamais... qui vivent dans leur bulle...et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit)...

bizzz

 

[bébé2008]

Métro boulot dodo, dure dure la vie des premières années des tout petits ... La vie n'est plus la même !

De plus en tant que jeune parents nous étions sur notre nuage à trois :wink:

La vie change c'est comme çà un petit mail un sms çà fait plaisir ce n'est pas intrusif et çà maintien le contact

 

[Zange]

Pour moi la rupture, ça a été après la mort de mes fils. Mais c'est moi qui ai fait le tri. J'ai laissé de côté des amitiés ou des relations qui ne m'apportaient rien, ça peut paraitre égoïste de ma part, mais je devais me centrer sur moi et ma famille, et ça m'a permis ensuite de voir qui était encore là et qui était parti.

Et la surprise#1 c'est que ce sont des amies célibataires ou en couple mais sans enfant qui étaient restées, sans conditions, qui m'ont apporté soutien et compréhension.

La surprise#2, c'est que j'ai noué de nouvelles amitiés, une particulièrement qui m'est très chère, sincère, solide, au coeur de la tourmente.

Pour le reste, on n'a jamais fait sans Eva, partout où on allait elle nous accompagnait. Mais c'était bcp plus facile pendant sa première année, que par la suite, où elle marchait, dormait moins, et touchait à tout