C'était très délicat, mais mon médecin (excellent gynéco chef de service d'un des plus grands hôpitaux parisiens) n'a pas pu faire autrement. A la première récidive, on a laissé une "chance" à mon utérus d'arrêter de faire n'importe quoi, mais vu que le premier myome était douteux, le fait qu'il revienne vite, très vascularisé, avec de nombreuses cellules ne plaidait pour une malignité en sommeil. Et si ça devenait malin, c'était très très mauvais signe, car ce type de cancer est hyper résistant aux traitements et très agressif.
J'ai une entière confiance en mon médecin, je sais qu'il n'aurait pas proposé cette solution si on pouvait faire autrement (on a fait autrement pendant deux ans déjà).
Reste à attendre les résultats de l'anapath maintenant, en espérant que ça ne soit pas déjà devenu méchant.