Une tite histoire! | Femiboard: Grossesse
  • Un soucis de santé, une inquiétude ? ici vous répond, Inscrivez-vous !

Une tite histoire!

#1
Dans un autre genre, je vous propose de construire une histoire.
Chacune (ou chacun) en écrit un bout, de la longueur qu'elle (il) veut.
Qui sait, peut-être qu'un jour on sera publiées!!!

Alors creusez-vous les méninges, je pose le tableau:

"Il était une fois, dans un petit village du berry profond, une petite famille tranquille, sans histoire et qui était des plus heureuse.
Il y avait Albert, le père, un grand homme moustachu aux yeux pétillants et à la voix rauque. La maman, Monique, était mère au foyer. C'était une des ces petites bonnes femmes toujours en action, qui ne s'arrête jamais une minute et qui se dévoue corps et âme pour sa famille. Le fils, Benjamin, avait 6 ans et était d'un naturel plutôt calme, comme son père disait-on. La dernière, c'était Amélie, qui venait de fêter ses 2 ans, un vrai petit monstre!
On pouvait trouver Tiger, le vieux berger allemand, toujours couché au pied de son maître et Minette, une petite chatte recueillie qui détruisait tout sur son passage mais tellement attachante.

C'était dimanche, pas de travail, pas d'école, un beau soleil............."

A vous de jouer!!! :p
 
#2
Il était une fois, dans un petit village du berry profond, une petite famille tranquille, sans histoire et qui était des plus heureuse.
Il y avait Albert, le père, un grand homme moustachu aux yeux pétillants et à la voix rauque. La maman, Monique, était mère au foyer. C'était une des ces petites bonnes femmes toujours en action, qui ne s'arrête jamais une minute et qui se dévoue corps et âme pour sa famille. Le fils, Benjamin, avait 6 ans et était d'un naturel plutôt calme, comme son père disait-on. La dernière, c'était Amélie, qui venait de fêter ses 2 ans, un vrai petit monstre!
On pouvait trouver Tiger, le vieux berger allemand, toujours couché au pied de son maître et Minette, une petite chatte recueillie qui détruisait tout sur son passage mais tellement attachante.

C'était dimanche, pas de travail, pas d'école, un beau soleil brillait.
Le calme du village faisait penser à une ville fantôme; seul le bruit de quelques criquets venaient déranger la torpeur ambiante.
La famille était réunie autour du papie, baptisé le "papoune" par ses petits enfants. Ce dernier ne cessait de ressasser ses vieux souvenirs de guerre pour la plus grande joie de toute la maisonnée.Le petit s'imaginait dejà en soldat, la fleur au fusil. Amélie , elle, songeait à un mariage virtuel avec un beau teuton rencontré sous l'occupation. Le père qui avait connu la guerre, mais était trop petit pour se battre bénissait cet état de fait et "la pile"carressait nerveusement son ventre déjà rond.
Tout à coup un bruit assourdissant se fit entendre, il provenait de la cour......
 
#3
Le temps s'arrêta net! Toute la famille se regarda pendant d'interminables secondes. Monique, qui buvait du thé à ce moment précis en renversa sur sa toilette du dimanche dans un sursaut qu'elle ne sut contrôler. Elle ne parut pas s'en rendre compte. Une fois le silence revenu, Albert se leva d'un bond, il fut suivi aussitôt de son père puis du reste de la famille. Il se précipita dehors le premier en demandant à sa femme et ses enfants de rester à l'interieur. Ben et Amélie se blotirent dans les bras de leur mère. Tiger essayait péniblement de lever son arrière-train pour suivre son maître et minette était grimpée, le poil hérissé, en haut de l'imposante armoire donnée par la grand-mère de Monique à l'occasion de son mariage avec Albert.

Une fois dehors, Albert et son père durent mettre leurs mains devant leurs yeux, tellement le soleil était aveuglant. La température devait approcher des 37°C, et cela durait depuis quelques temps déjà!

Le matin même, comme tous les dimanches, la famille s'était rendu à la messe et toute la communauté chrétienne avait assisté à une drôle de scène avec une famille voisine ............
 
#4
Les Bontemps qui habitaient la maison mitoyenne à celle des Fébeau n'en avaient pas cru leurs yeux : l'aîné de la fratrie voisine venait de sortir des bois totalement nu, avait crâché sur le Père Faucul avant de s'introduire dans l'église. Tous les hommes de la communauté s'étaient engouffrés à l'intérieur du lieu saint afin d'y déloger le désaxé. Le malheureux criait, hurlait, se débattait comme un forcené, quand il fut amené à l'extérieur de l'église. Tout en s'essuyant, le curé interrogeait les Fébeau sur le pourquoi de cette subite altération mentale, mais ceux-ci, tellement honteux ne purent que s'enfoncer dans un mutisme profond. Seul la grand-mère .....