Recherche témoignage sur la stérilité

[Eugénie]

Coucou,

Je recherche des bouquins qui parleraient de la stérilité, mais pas un bouquins genre dicumentaire, plutôt un roman.

J'ai lu "Adrien ou la colère des bébés" sur les grands prématuré et j'ai trouvé sa génial. Je ne sais pas si quelqu'un connais se livre mais je le conseille... Sauf pour vous les filles enceintes...

Enfin, si vous connaissez des livres que vous avez envie de me recommandé ... Merci d'avance.

 

[Marikolette]

Kikouni Eugeniette :wink: ,

Je vais creuser mes méninges et te chercher ça...

 

[Marikolette]

Tiens, klik déjà là :wink: :

http://femiboard.com/phpBB2/viewtopic.php?t=22393&highlight=repudiee

Je te mets un "petit" résumé :wink: de La répudiée d' Eliette Abécassis

chez Albin Michel (il existe en poche)


"A Méa Shéarim, ce quartier de Jérusalem hanté par les silhouettes noires des hassidim, une voix se fait entendre.
Celle d'une jeune femme de vingt-six ans élevée dans la plus stricte tradition judaïque.
Mariée à seize ans, elle n'a découvert son époux Nathan qu'au jour même de ses noces.
«J'ai levé des yeux vers lui. J'ai vu des yeux de lumière sombre, des pommettes hautes et rouges, une bouche mince et pourpre comme la grenade. Il était grand et élancé comme un cèdre du Liban. Il était beau comme la lune, brillant comme le soleil.»
Elle s'émerveille chaque jour de leur amour tout en écoutant grandir en elle l'inquiétude.
Aucun enfant n'est venu consacrer leur union. Et cela fait dix ans qu'ils sont mariés.

Malgré tout son attachement Nathan serait en droit de répudier sa femme stérile.
Son père, le rabbin, l'y incite chaque jour davantage: «Le seul but de la vie d'une fille d'Israël est de porter des enfants juifs et de permettre à son mari d'étudier.
Les enfants, c'est notre force.
Il faut se préparer aux temps messianiques en donnant naissance à toutes les âmes destinées à naître, et celui qui manque à ce devoir retarde la venue du Messie.»
Quel avenir, alors, pour l'épouse sans enfant?
Ni plainte, ni colère, ni rébellion.
La jeune femme ne hausse pas la voix.
Elle observe la tradition qui l'écrase, elle s'y soumet sans que cesse son chant de grâces à l'aimé, son Cantique des cantiques."