« Ces petits nids à microbes qu’on néglige »
Le Parisien, Le Point numéro 1801
Le Parisien remarque qu’« on pourrait éviter beaucoup de maladies si l’on respectait quelques règles d’hygiène simples ».
Le journal se penche sur le livre du Dr Frédéric Saldmann, attaché des Hôpitaux de Paris et spécialiste en hygiène alimentaire et cardiologique (« On s’en lave les mains », chez Flammarion).
Le praticien constate que « depuis l’invention des antibiotiques, l’hygiène n’est plus prioritaire. Or, on se rend compte qu’il y a de plus en plus de résistance aux traitements et que le retour à quelques réflexes de bon sens pourrait faire diminuer certaines épidémies ».
Le Parisien relève que « le Dr Saldmann se montre catégorique : on devrait interdire la poignée de main et adopter le «hug», l’accolade à l’américaine ».
Le quotidien relève en effet que « selon deux études menées par le praticien avec le laboratoire d’hygiène de la Ville de Paris, en serrant la paluche d’une personne qui sort des toilettes, vous risquez une fois sur trois de retrouver des germes fécaux de cette personne non seulement sur vos propres mains, mais aussi dans… votre bouche ».
Le Dr Saldmann déclare que « si on mettait un terme à cette coutume, on pourrait éviter des milliers de cas de gastro-entérite ».
Le Parisien conseille en outre de « fermer le couvercle de vos toilettes avant de tirer la chasse », le praticien indiquant qu’« au moment où l’on actionne une chasse d’eau, il se produit un effet aérosol qui pulvérise des germes dans la pièce ».
Le journal conseille aussi de « changer votre brosse à dents tous les mois », ou encore de « nettoyer votre téléphone portable ».
Le Parisien remarque en effet que le portable « comptabilise 20 900 microbes au centimètre carré ».
Frédéric Saldmann précise néanmoins que « ce livre a pour but d’informer les gens et non pas de les alarmer inutilement ».
Le Point consacre aussi un article à l’ouvrage du Dr Saldmann, le magazine constatant sur 4 pages que « notre santé est entre nos mains ».
L’hebdomadaire aborde ces « steaks tartares et ces sushis transmetteurs de vers, l’hépatite B transmise par une brosse à dents… autant de désagréments dégoûtants qu’il serait possible d’éviter en respectant les règles élémentaires de l’hygiène ».
Le Point publie un entretien avec Frédéric Saldmann, qui remarque notamment que « les systèmes électriques qui délivrent de l’air chaud [dans certaines toilettes publiques] sont une véritable catastrophe, car ils envoient dans l’atmosphère les germes qui peuvent alors être inhalés ».
Le praticien conseille en outre de « jeter systématiquement [sa brosse à dents] après un rhume, une bronchite ou toute infection ORL », d’« enlever les taches brunes qui se développent à la surface des fruits : elles contiennent de la patuline, qui est cancérigène », ou encore de « gratter les zones noircies de la viande cuite au barbecue ou des bords de la pizza : 3 cm de croûte carbonisée sont aussi nocifs que 10 paquets de cigarettes ».
Le Dr Saldmann indique par ailleurs que « l’oreiller doit faire l’objet d’une attention particulière », car « on estime que 10 % de son poids se compose d’acariens vivants ou morts et de leurs déjections ».
Le Parisien, Le Point numéro 1801
Le Parisien remarque qu’« on pourrait éviter beaucoup de maladies si l’on respectait quelques règles d’hygiène simples ».
Le journal se penche sur le livre du Dr Frédéric Saldmann, attaché des Hôpitaux de Paris et spécialiste en hygiène alimentaire et cardiologique (« On s’en lave les mains », chez Flammarion).
Le praticien constate que « depuis l’invention des antibiotiques, l’hygiène n’est plus prioritaire. Or, on se rend compte qu’il y a de plus en plus de résistance aux traitements et que le retour à quelques réflexes de bon sens pourrait faire diminuer certaines épidémies ».
Le Parisien relève que « le Dr Saldmann se montre catégorique : on devrait interdire la poignée de main et adopter le «hug», l’accolade à l’américaine ».
Le quotidien relève en effet que « selon deux études menées par le praticien avec le laboratoire d’hygiène de la Ville de Paris, en serrant la paluche d’une personne qui sort des toilettes, vous risquez une fois sur trois de retrouver des germes fécaux de cette personne non seulement sur vos propres mains, mais aussi dans… votre bouche ».
Le Dr Saldmann déclare que « si on mettait un terme à cette coutume, on pourrait éviter des milliers de cas de gastro-entérite ».
Le Parisien conseille en outre de « fermer le couvercle de vos toilettes avant de tirer la chasse », le praticien indiquant qu’« au moment où l’on actionne une chasse d’eau, il se produit un effet aérosol qui pulvérise des germes dans la pièce ».
Le journal conseille aussi de « changer votre brosse à dents tous les mois », ou encore de « nettoyer votre téléphone portable ».
Le Parisien remarque en effet que le portable « comptabilise 20 900 microbes au centimètre carré ».
Frédéric Saldmann précise néanmoins que « ce livre a pour but d’informer les gens et non pas de les alarmer inutilement ».
Le Point consacre aussi un article à l’ouvrage du Dr Saldmann, le magazine constatant sur 4 pages que « notre santé est entre nos mains ».
L’hebdomadaire aborde ces « steaks tartares et ces sushis transmetteurs de vers, l’hépatite B transmise par une brosse à dents… autant de désagréments dégoûtants qu’il serait possible d’éviter en respectant les règles élémentaires de l’hygiène ».
Le Point publie un entretien avec Frédéric Saldmann, qui remarque notamment que « les systèmes électriques qui délivrent de l’air chaud [dans certaines toilettes publiques] sont une véritable catastrophe, car ils envoient dans l’atmosphère les germes qui peuvent alors être inhalés ».
Le praticien conseille en outre de « jeter systématiquement [sa brosse à dents] après un rhume, une bronchite ou toute infection ORL », d’« enlever les taches brunes qui se développent à la surface des fruits : elles contiennent de la patuline, qui est cancérigène », ou encore de « gratter les zones noircies de la viande cuite au barbecue ou des bords de la pizza : 3 cm de croûte carbonisée sont aussi nocifs que 10 paquets de cigarettes ».
Le Dr Saldmann indique par ailleurs que « l’oreiller doit faire l’objet d’une attention particulière », car « on estime que 10 % de son poids se compose d’acariens vivants ou morts et de leurs déjections ».