Bonjour,
j'ai besoin qu'on me remonte le moral. Voilà quelle est la situation.
Tout d'abord, j'ai des contractions depuis le troisième mois de grossesse et j'achève actuellement le huitième. Malgré toutes ces contractions, mon col ne s'est jamais modifié ce qui est très bien pour le bébé mais je commence à me demander si il s'ouvrira un jour de lui même.
Toutes ces contractions m'ont imposé de rester au repos dès 12SA, puis j'ai été hospitalisé à 29SA et à 33SA et à chaque fois le même discours: repos, repos, repos. Et pas assise, s'il vous plaît, ALLONGEE.
Et malgré tout ça, j'ai encore des épisodes des contractions à un intervalle de 5 min, plus intenses et douloureuses la nuit. Je dors donc assez mal.
Et pourtant, je suis actuellement sous traitement pour diminuer les contractions, du Loxen en cp et des suppos de Salbumol. Mais cela n'est pas très efficace et en plus le Loxen me donne des bouffées de chaleur, des oedèmes aux chevilles et des rougeurs des membres inférieurs dans les heures qui suivent les prises.
De plus, on me répète régulièrement qu'avec un tel traitement, l'accouchement est bien souvent mené à son terme et décleché. Et ça devrait me rassurer!
D'autant que lors de ma deuxième échographie, le médecin m'annonce: ce sera un gros bébé, confirmé à la troisième entre 3,6 et 4,4 kg à terme. "Il ne faut pas manger trop sucré" m'ordonne-t-on. Et tout ce repos, personne n'a essayé de me déculpabiliser en me disant "Avec tout ce que vous vous êtes reposé, c'est normal qu'il est bien profité".
Cerise sur le gâteau, lors de ma dernière hospitalisation on s'en inquiète: "il a vraiment l'air très gros ce bébé". Et hop nouvelle écho. Et hop recherche de diabète. Et "combien de kilos vous avez pris depuis le début de la grossesse? 12kg? Il faut pas en prendre plus!" Facile à dire quand on ne peut rien faire d'autre que de rester allongée toute la journée.
Et son papa n'a pas trouvé mieux que de dire un jour: "J'aimerais bien qu'il soit tout petit à la naissance!" Manquait plus que ça.
Alors voilà, j'attends un bébé dont l'excès de poids me fait culpabiliser et m'inquiète par rapport à un accouchement à terme, on me fait suivre un traitement dont j'ai l'impression qu'il ne m'occasionne que des effets secondaires et qui risque d'imposer un déclenchement de l'accouchement à terme.
Et quand, je pose la question à ma gynéco de savoir si compte tenu que je serai à 36SA dans trois jours, ne sera-t-il pas mieux d'interrompre le traitement à ce terme plutôt qu'à 37SA, celle-ci me réponds que plus loin j'emmenerai cette grossesse et mieux ce sera pour mon bébé et en particulier pour que ses poumons soient matures.
Alors bien sûr, soeur CULPABILITE reprends du service pour me ronronner aux oreilles que mon souhait que ce bébé arrive tôt est du pur égoïsme.
Voilà, je suis donc un peu déprimée et en plus toute seule puisque mon mari est actuellement en déplacement. Je compte donc sur vous pour m'apporter votre soutien.
j'ai besoin qu'on me remonte le moral. Voilà quelle est la situation.
Tout d'abord, j'ai des contractions depuis le troisième mois de grossesse et j'achève actuellement le huitième. Malgré toutes ces contractions, mon col ne s'est jamais modifié ce qui est très bien pour le bébé mais je commence à me demander si il s'ouvrira un jour de lui même.
Toutes ces contractions m'ont imposé de rester au repos dès 12SA, puis j'ai été hospitalisé à 29SA et à 33SA et à chaque fois le même discours: repos, repos, repos. Et pas assise, s'il vous plaît, ALLONGEE.
Et malgré tout ça, j'ai encore des épisodes des contractions à un intervalle de 5 min, plus intenses et douloureuses la nuit. Je dors donc assez mal.
Et pourtant, je suis actuellement sous traitement pour diminuer les contractions, du Loxen en cp et des suppos de Salbumol. Mais cela n'est pas très efficace et en plus le Loxen me donne des bouffées de chaleur, des oedèmes aux chevilles et des rougeurs des membres inférieurs dans les heures qui suivent les prises.
De plus, on me répète régulièrement qu'avec un tel traitement, l'accouchement est bien souvent mené à son terme et décleché. Et ça devrait me rassurer!
D'autant que lors de ma deuxième échographie, le médecin m'annonce: ce sera un gros bébé, confirmé à la troisième entre 3,6 et 4,4 kg à terme. "Il ne faut pas manger trop sucré" m'ordonne-t-on. Et tout ce repos, personne n'a essayé de me déculpabiliser en me disant "Avec tout ce que vous vous êtes reposé, c'est normal qu'il est bien profité".
Cerise sur le gâteau, lors de ma dernière hospitalisation on s'en inquiète: "il a vraiment l'air très gros ce bébé". Et hop nouvelle écho. Et hop recherche de diabète. Et "combien de kilos vous avez pris depuis le début de la grossesse? 12kg? Il faut pas en prendre plus!" Facile à dire quand on ne peut rien faire d'autre que de rester allongée toute la journée.
Et son papa n'a pas trouvé mieux que de dire un jour: "J'aimerais bien qu'il soit tout petit à la naissance!" Manquait plus que ça.
Alors voilà, j'attends un bébé dont l'excès de poids me fait culpabiliser et m'inquiète par rapport à un accouchement à terme, on me fait suivre un traitement dont j'ai l'impression qu'il ne m'occasionne que des effets secondaires et qui risque d'imposer un déclenchement de l'accouchement à terme.
Et quand, je pose la question à ma gynéco de savoir si compte tenu que je serai à 36SA dans trois jours, ne sera-t-il pas mieux d'interrompre le traitement à ce terme plutôt qu'à 37SA, celle-ci me réponds que plus loin j'emmenerai cette grossesse et mieux ce sera pour mon bébé et en particulier pour que ses poumons soient matures.
Alors bien sûr, soeur CULPABILITE reprends du service pour me ronronner aux oreilles que mon souhait que ce bébé arrive tôt est du pur égoïsme.
Voilà, je suis donc un peu déprimée et en plus toute seule puisque mon mari est actuellement en déplacement. Je compte donc sur vous pour m'apporter votre soutien.