Bon , je suis fan de Christine Orban (qui bien que mariée à l'un des plus grands editeurs parisiens (Olivier Orban ) publie toujours ses romans chez les concurrents...
Regardez ce qu"elle a dit dans l'une de ses interwiews:
"Dans tous mes romans, il y a une scène érotique. Chaque fois que mon mari les lit, il se ronge d'inquiétude, parce que je projette mes fantasmes sur mes héroïnes de papier."
Voici en format poche quelques uns de ses meilleurs livres:
J'étais l'origine du monde avec comme point de départ le fameux tableau de Courbet , Christine Orban s'intéresse au modèle, qu'elle imagine être Joanna Hifferman, la maîtresse de Whistler, qui passa ensuite entre les bras de Courbet. Lequel se met en tête de peindre «la plus belle chatte du monde». Ou encore: «Jamais on n'aura vu meilleur con. Un plus magnifique, un plus affectueux, un plus offert, un plus langoureux que ton con devenu celui de Courbet.» De la trivialité comme un des beaux-arts?
Une folie amoureuse
Résumé:
Un soir d'août, alors que sa femme l'attend dans le Midi, un homme séduit une blonde, passe la nuit avec elle puis l'efface de sa vie : corps mêlés sans conséquences, une passade. Le narrateur, dans la quarantaine, tient une galerie d'art. Il aime sa femme, Clothilde, psychanalyste élégante et sensuelle. Son cabinet se trouve au rez-de-chaussée de leur maison, dans Paris. Ils sont mariés depuis une dizaine d'années. Mais Clothilde, bientôt, se conduit singulièrement. Elle sort sans raisons, rentre tard le soir, part pour Milan... Le narrateur s'inquiète : sa femme l'aime-t-elle encore ? Bientôt, il découvre le journal intime où elle se dit lointaine, inquiète, sans amour pour lui désormais. Au fil des pages, les désirs se mêlent : comment donc continuer à aimer?
Le silence des hommes vient de paraître en Livre de Poche.
Résumé:
Elle s’appelle Idylle, il s’appelle Jean. Un jour, leurs regards se croisent. Trois ans plus tard seulement, ils commencent à vivre une passion enivrante, mais qui trouve sa limite dans le silence de l’homme.
Comme beaucoup d’autres, il préfère le geste à la parole, l’esquive à l’affrontement, la fuite à l’engagement. Idylle, follement amoureuse, va vivre comme une souffrance croissante ce refus de parler d’amour, de parler de leur amour, dans lequel il s’obstine, et qui n’est peut-être qu’une incapacité…
Je crois que c'est Chips qui voulait lire des histoires d'amour :wink: ...Ca te va?
Regardez ce qu"elle a dit dans l'une de ses interwiews:
"Dans tous mes romans, il y a une scène érotique. Chaque fois que mon mari les lit, il se ronge d'inquiétude, parce que je projette mes fantasmes sur mes héroïnes de papier."
Voici en format poche quelques uns de ses meilleurs livres:
J'étais l'origine du monde avec comme point de départ le fameux tableau de Courbet , Christine Orban s'intéresse au modèle, qu'elle imagine être Joanna Hifferman, la maîtresse de Whistler, qui passa ensuite entre les bras de Courbet. Lequel se met en tête de peindre «la plus belle chatte du monde». Ou encore: «Jamais on n'aura vu meilleur con. Un plus magnifique, un plus affectueux, un plus offert, un plus langoureux que ton con devenu celui de Courbet.» De la trivialité comme un des beaux-arts?
Une folie amoureuse
Résumé:
Un soir d'août, alors que sa femme l'attend dans le Midi, un homme séduit une blonde, passe la nuit avec elle puis l'efface de sa vie : corps mêlés sans conséquences, une passade. Le narrateur, dans la quarantaine, tient une galerie d'art. Il aime sa femme, Clothilde, psychanalyste élégante et sensuelle. Son cabinet se trouve au rez-de-chaussée de leur maison, dans Paris. Ils sont mariés depuis une dizaine d'années. Mais Clothilde, bientôt, se conduit singulièrement. Elle sort sans raisons, rentre tard le soir, part pour Milan... Le narrateur s'inquiète : sa femme l'aime-t-elle encore ? Bientôt, il découvre le journal intime où elle se dit lointaine, inquiète, sans amour pour lui désormais. Au fil des pages, les désirs se mêlent : comment donc continuer à aimer?
Le silence des hommes vient de paraître en Livre de Poche.
Résumé:
Elle s’appelle Idylle, il s’appelle Jean. Un jour, leurs regards se croisent. Trois ans plus tard seulement, ils commencent à vivre une passion enivrante, mais qui trouve sa limite dans le silence de l’homme.
Comme beaucoup d’autres, il préfère le geste à la parole, l’esquive à l’affrontement, la fuite à l’engagement. Idylle, follement amoureuse, va vivre comme une souffrance croissante ce refus de parler d’amour, de parler de leur amour, dans lequel il s’obstine, et qui n’est peut-être qu’une incapacité…
Je crois que c'est Chips qui voulait lire des histoires d'amour :wink: ...Ca te va?