Un livre sur les rapports MERE- filleS incroyable:
:arrow: La voyageuse de nuit de Françoise Chandernagor
2122419€ chez Gallimard.
Résumé:
C'est l'histoire d' une mère qui va mourir, qui meurt, puis qui revient sans cesse dans la mémoire et la vie de ses quatre filles.
Olga devient une « voyageuse de nuit », pour reprendre l'expression de Chateaubriand dans Les Mémoires d'Outre-tombe.
Dès que la mère ferme les yeux, ses quatre filles sont obligées d'ouvrir les leurs :
Elles vont, progressivement, devoir découvrir la vérité sur leur famille .
S'infantiliser afin de retrouver cet amour fraternel qui leur a tant manqué comme dans cette scène où cette scène où, après avoir mangé des crêpes, elles se mettent à danser toutes les quatre.
Une poignante méditation sur le deuil et la métamorphose du souvenir.
Extrait:" Elle a fermé les yeux plusieurs mois avant sa mort.
Même le personnel de Louis-Pasteur s'en est étonné quand, avant-hier, elle y est entrée en soins palliatifs:
«Madame, s'il vous plaît, ouvrez les yeux!
Pourquoi fait-elle ça?» Nous ne savons pas.
L'épuisement?
Il paraît que non: avec un grand malade, la communication passe par le regard."
:arrow: La voyageuse de nuit de Françoise Chandernagor
Résumé:
C'est l'histoire d' une mère qui va mourir, qui meurt, puis qui revient sans cesse dans la mémoire et la vie de ses quatre filles.
Olga devient une « voyageuse de nuit », pour reprendre l'expression de Chateaubriand dans Les Mémoires d'Outre-tombe.
Dès que la mère ferme les yeux, ses quatre filles sont obligées d'ouvrir les leurs :
Elles vont, progressivement, devoir découvrir la vérité sur leur famille .
S'infantiliser afin de retrouver cet amour fraternel qui leur a tant manqué comme dans cette scène où cette scène où, après avoir mangé des crêpes, elles se mettent à danser toutes les quatre.
Une poignante méditation sur le deuil et la métamorphose du souvenir.
Extrait:" Elle a fermé les yeux plusieurs mois avant sa mort.
Même le personnel de Louis-Pasteur s'en est étonné quand, avant-hier, elle y est entrée en soins palliatifs:
«Madame, s'il vous plaît, ouvrez les yeux!
Pourquoi fait-elle ça?» Nous ne savons pas.
L'épuisement?
Il paraît que non: avec un grand malade, la communication passe par le regard."