Bonjour,
j'ai déjà posté mais je ne me souviens plus de mon nom d'utilisatrice. J'ai 23 ans, un "beau" fibrome de 12*10*8 (il y a 6 mois, c'était 8*8*8 et il y a un an, il n'y avait rien de détectable).
Je fais le tour des médecins (enfin, je me limite à 3 pour le moment) et ils ne sont pas tous d'accord.
Ils m'ont tous parlé de l'embolisation, mais l'un d'entre eux me l'a déconseillé car il n'y a pas de recul et qu'on ne sait pas où vont toutes ses petites particules que l'on injecte dans les artères utérines et qu'on ne connaît pas leur inocuité.
Ce dernier m'a parlé d'une réduction de la taille par grâce à une ménopause artificielle puis de l'enlever chirurgicalement.
Enfin, il n'est pas trop possible de le garder, vu la taille, qu'il écrase tout sur son passage et déforme mon utérus.
Je ne sais pas auprès de qui me renseigner, on m'a parlé de Béclère, mais je ne sais pas qui voir là-bas (ou ailleurs), quelqu'un qui pourrait préserver mon utérus et faire que je puisse dans quelques années avoir des enfants.
Merci,
Marion
j'ai déjà posté mais je ne me souviens plus de mon nom d'utilisatrice. J'ai 23 ans, un "beau" fibrome de 12*10*8 (il y a 6 mois, c'était 8*8*8 et il y a un an, il n'y avait rien de détectable).
Je fais le tour des médecins (enfin, je me limite à 3 pour le moment) et ils ne sont pas tous d'accord.
Ils m'ont tous parlé de l'embolisation, mais l'un d'entre eux me l'a déconseillé car il n'y a pas de recul et qu'on ne sait pas où vont toutes ses petites particules que l'on injecte dans les artères utérines et qu'on ne connaît pas leur inocuité.
Ce dernier m'a parlé d'une réduction de la taille par grâce à une ménopause artificielle puis de l'enlever chirurgicalement.
Enfin, il n'est pas trop possible de le garder, vu la taille, qu'il écrase tout sur son passage et déforme mon utérus.
Je ne sais pas auprès de qui me renseigner, on m'a parlé de Béclère, mais je ne sais pas qui voir là-bas (ou ailleurs), quelqu'un qui pourrait préserver mon utérus et faire que je puisse dans quelques années avoir des enfants.
Merci,
Marion